Comment réussir une épreuve d’ultra-endurance comme le Summum ou l’Enduroman ?

Pourquoi les épreuves d’endurance deviennent de plus en plus extrêmes ?
Il y a vingt ans, finir un marathon suffisait à impressionner ton entourage. Aujourd’hui, on parle d’ultramarathon, d’Ironman, de Barkley, du Summum, ou encore de l’Enduroman, et les formats explosent. Le simple effort physique ne suffit plus. Ces nouvelles épreuves vont chercher autre chose : une part plus profonde de toi, celle que tu ne connais pas encore. Ce sont des défis que tu choisis, pas pour battre un chrono, mais pour repousser tes limites physiques et mentales, souvent jusqu’au point de rupture.
Pourquoi un tel besoin de difficulté ? Parce que tu vis dans une société qui valorise l’intensité, la performance, l’image, et que le sport d’endurance devient une réponse très personnelle à ça. C’est ton espace à toi, ta zone franche. Courir un ultra trail dans la montagne, en pleine nuit, ou traverser la Manche à la nage comme sur l’Enduroman, ce n’est pas du tourisme. C’est une quête, un engagement total. Tu n’as pas d’excuse, pas d’échappatoire. Tu es seul avec toi-même. Et c’est précisément là que tout se joue.
Ce que ces épreuves demandent aujourd’hui, c’est une maîtrise complète de ton corps, mais surtout de ton esprit. L’endurance, c’est avant tout de la résilience, de la discipline, de la motivation à long terme. C’est ce que tu construis en silence, chaque jour. Un entrainement ne se limite pas à courir plus ou à nager plus longtemps. Il faut penser récupération, préparation mentale, sommeil, alimentation, gestion du stress, des émotions. Et ça, tu le sais bien : c’est souvent là que tout se joue.
Des athlètes comme Julien Deneyer, qui ont marqué des épreuves comme le Summum ou l’Enduroman, l’ont compris depuis longtemps. Il ne s’agit pas de copier un plan d’entrainement, ou de faire comme les autres. Chacun a son code à décrypter. Et le tien n’est pas écrit d’avance. Il faut le découvrir à travers l’épreuve elle-même. Ce que Julien Deneyer partage, c’est cette idée simple : la performance mentale est au moins aussi importante que ta puissance physique. Ce qui compte, ce n’est pas seulement d’aller plus vite ou plus loin, c’est de tenir, de garder la tête claire, de revenir à ton “pourquoi”.
Alors oui, les sports extrêmes évoluent, les formats s’allongent, la difficulté monte. Mais ce n’est pas juste une question de mode. C’est parce qu’on est nombreux à chercher une autre façon d’exister. Tu ne fais pas un Ironman pour le plaisir de souffrir. Tu le fais pour apprendre quelque chose sur toi. Tu choisis une épreuve comme le Summum parce que tu sais qu’elle va t’amener à une forme de vérité. Et c’est ça qui est beau dans le dépassement de soi : ça ne s’achète pas, ça ne se triche pas. Tu le vis ou tu ne le vis pas.
Et toi, quel est ton prochain défi ?
Du marathon à l’ultramarathon, la montée en complexité
Tu le sais sûrement déjà : terminer un marathon, c’est un cap. C’est une épreuve exigeante qui te demande des mois d’entraînement, une vraie discipline, et un minimum de motivation. Mais aujourd’hui, le marathon n’est plus perçu comme le sommet absolu dans le monde du sport d’endurance. On parle désormais de trail, d’ultra trail, d’Ironman, d’Enduroman, ou encore du Summum. Ces formats de sport extrême attirent chaque année de plus en plus d’athlètes en quête de dépassement de soi, de sensations fortes, ou même simplement de vérité intérieure.
Ce qui rend ces formats aussi particuliers, ce n’est pas seulement la distance. C’est le niveau de complexité qu’ils exigent. Car tu ne peux plus seulement compter sur ta capacité physique à encaisser des kilomètres. Non. Ce qui fait la différence, c’est ta préparation mentale, ton niveau de résilience, ta capacité à repousser tes limites dans la durée, et ta faculté à tenir bon quand tout semble s’effondrer.
Tu vois, entre un marathon et un ultramarathon, il y a une marche que beaucoup sous-estiment : c’est la part invisible de la performance.

Ce qui se joue dans la tête, quand tu passes 10, 20, 30 heures d’affilée dehors, souvent seul. C’est là qu’entre en jeu la performance mentale. Et c’est là que des épreuves comme l’Enduroman ou le Summum deviennent plus que du sport, elles deviennent des révélateurs de toi-même. Ces formats-là, ils t’obligent à tout revoir : ta stratégie de course, ton alimentation, ta gestion du sommeil, ton lien à la douleur, à l’échec, à l’orgueil.
Julien Deneyer, par exemple — tu sais, celui qui a réussi plusieurs éditions de l’Enduroman et du Summum — ne t’expliquera jamais qu’il a trouvé un mode d’emploi universel. Parce qu’il n’y en a pas. Ce qu’il a compris en revanche, c’est que chaque épreuve est une énigme. Et que le seul moyen de progresser dans ce type de sport d’endurance, c’est d’apprendre à te connaître. C’est là que la discipline devient essentielle : pas une discipline rigide, mais une manière d’être régulier, de rester à l’écoute, de savoir quand insister et quand lâcher.
La grande erreur serait de croire que ces formats sont réservés à des surhommes. En réalité, ils sont faits pour des gens curieux, qui acceptent de ne pas tout contrôler, qui veulent vivre autre chose. C’est ce qui fait le lien entre tous ces formats d’ultra trail, d’Ironman ou d’Enduroman : ce n’est pas seulement de courir ou de nager loin, c’est de traverser des moments où tu ne sais pas si tu vas tenir… et d’apprendre à tenir malgré tout.
Tu ne participes pas à un Summum pour faire une performance "classique". Tu y vas parce que tu veux découvrir quelque chose. Et c’est là, dans cette zone d’incertitude, que se joue la vraie aventure. Une aventure où ton entraînement ne suffit pas, où ta préparation mentale doit être au cœur de ton parcours, et où ta motivation doit venir de toi, pas d’une médaille.
C’est ça, le sens de cette montée en complexité dans le monde du sport extrême aujourd’hui : moins de chronos, plus de conscience. Moins de certitudes, plus d’exploration. Et surtout, une immense ouverture sur soi-même.
Barkley, Ironman, Enduroman, Summum : ces défis qui dépassent l’imaginaire

Tu as peut-être déjà entendu parler de l’Ironman, de la mythique Barkley, ou du très confidentiel Summum. Peut-être même que le nom d’Enduroman t’évoque quelque chose : ce triathlon hors norme qui relie Londres à Paris, à la force du corps et de la tête. Ces épreuves ne sont pas de simples compétitions sportives. Ce sont des quêtes. Des aventures humaines qui vont bien au-delà de l’endurance physique. Ce sont des voyages intérieurs où le corps ne fait que suivre l’esprit.
Dans ces formats, on ne parle plus de chrono ou de classement, mais d’expérience totale. Tu n’es plus seulement un coureur ou un triathlète. Tu deviens explorateur de tes limites. Que ce soit en ultra trail, en sport d’endurance, ou dans un sport extrême comme l’Enduroman, ce qui compte, c’est ta capacité à te connaître.
À anticiper les moments où tu vas flancher. À comprendre les rouages invisibles de ta performance mentale.
Ces défis te poussent à revoir ta façon de t’entraîner. Ici, la préparation mentale est aussi essentielle que la préparation physique. Tu dois apprendre à gérer les longues heures seul, les nuits sans sommeil, les douleurs qui ne passent pas. Tu dois rester motivé, même quand tu perds le sens de ce que tu fais. Tu dois trouver ce feu intérieur qui te pousse à continuer alors que tout en toi hurle d’arrêter.
Le dépassement de soi, ce n’est pas juste un slogan Instagram. C’est un état dans lequel tu plonges malgré toi, quand tu n’as plus que ta volonté pour avancer. Ces épreuves sont des révélateurs. Elles te montrent ce que tu as vraiment au fond de toi. Ta résilience, ta discipline, ta capacité à repousser tes limites sans te briser.
Julien Deneyer, qui a participé au Summum et à l’Enduroman, incarne parfaitement cet état d’esprit. Il ne court pas pour impressionner. Il court pour comprendre. Il s’est forgé dans l’ombre, à force d’essais, d’erreurs, d’observations. Il sait que chaque athlète est un système unique, qu’il n’existe pas une vérité universelle. Ce qui marche pour l’un peut briser l’autre. C’est pour ça que ces épreuves ne se préparent pas avec des recettes, mais avec une écoute fine de soi-même.
Alors si toi aussi tu rêves un jour de tenter une aventure comme le Barkley, l’Ironman, l’Enduroman ou le Summum, commence par accepter cette idée : tu ne suivras pas un chemin tout tracé. Tu devras inventer le tien, apprendre à te connaître, t’entraîner dur, travailler ta préparation mentale comme jamais, et surtout garder ta motivation même dans le noir. Parce que dans ce genre de sport extrême, la vraie victoire, ce n’est pas de finir devant. C’est de te rencontrer toi-même en chemin.
Pourquoi tant de sportifs cherchent aujourd’hui à repousser leurs limites ?
Si tu t'intéresses à l'endurance, tu l'as sans doute déjà remarqué : les défis ne cessent de se durcir. On ne parle plus seulement de finir un marathon ou un Ironman, mais bien de vivre des expériences hors normes comme l’Enduroman, le Summum, ou encore des épreuves mythiques comme les Barkley Marathons. Ces formats ultra-exigeants attirent de plus en plus de sportifs. Pourquoi ? Parce qu’ils vont bien au-delà de la simple performance physique. Ce que tu viens chercher là-dedans, c’est une forme d’accomplissement, une mise à l’épreuve totale de qui tu es.
Dans ces épreuves de sport d’endurance, tu n’affrontes pas seulement les kilomètres ou le chrono, tu affrontes surtout toi-même. C’est là que le vrai défi commence. Le dépassement de soi n’est pas un simple slogan marketing : c’est une réalité que tu vis dans ta chair, dans ta tête, dans ton cœur. Et c’est justement ce qui pousse des sportifs comme Julien Deneyer à revenir, à recommencer, à aller encore plus loin.
Ce besoin de se confronter à l’extrême est profondément humain. À travers une discipline rigoureuse, un entraînement millimétré et une préparation mentale solide, tu apprends à connaître tes forces, mais surtout tes failles. Tu te heurtes à des moments de doute, de solitude, parfois même de souffrance. C’est là que tu explores ta résilience, cette capacité à continuer malgré la douleur, malgré l’envie d’abandonner. Et c’est là aussi que la vraie motivation prend tout son sens. Pas celle qui vient des autres, mais celle qui vient de toi. Celle qui te pousse à avancer, même quand tout te dit d’arrêter.
L’ultra trail, le sport extrême, ces formats que beaucoup trouvent fous, sont en réalité des laboratoires d’expérimentation personnelle. Tu y testes ta stratégie, ton entraînement, ta récupération, ton alimentation. Tu ajustes, tu rates, tu progresses. C’est un jeu d’équilibre permanent entre corps et esprit, entre contrôle et lâcher prise. Et dans cette quête, ce que tu gagnes dépasse largement le résultat final : tu gagnes une forme de clarté sur qui tu es.
Des athlètes comme Julien Deneyer, que j’ai eu la chance de rencontrer et d’accompagner, incarnent parfaitement cette démarche. Il n’est pas seulement question de record ou de performance brute. Il est surtout question de sens, de cheminement personnel. Julien, comme beaucoup d’autres, ne cherche pas à impressionner. Il cherche à comprendre. Il cherche à craquer le code de ces épreuves si particulières, à travers sa propre expérience du Summum, de l’Enduroman, et de tout ce que l’endurance lui permet de révéler sur lui-même.
Alors si toi aussi tu te poses la question de pourquoi te lancer dans une telle aventure, sache que la réponse ne se trouve pas dans une médaille. Elle se trouve dans le processus. Dans la préparation mentale, dans la discipline quotidienne, dans la résilience face à l’échec, et dans cette force qui t’habite quand tu choisis de repousser tes limites. Voilà pourquoi on y retourne. Voilà pourquoi on s’aligne, encore une fois, sur des formats que d’autres trouvent insensés. Parce que, là, tu te sens vivant. Authentiquement. Intensément.
Comprendre le fonctionnement d’un corps en sport d’endurance
Quand tu te lances dans une épreuve d’ultra-endurance comme le Summum ou l’Enduroman, tu entres dans un monde où ton corps et ta tête sont poussés à leurs limites. Que tu sois sur un Ironman, un ultra trail ou toute autre forme de sport extrême, il est essentiel de comprendre comment ton organisme réagit pour mieux le préparer. L’endurance ne se limite pas à courir ou pédaler longtemps : c’est une véritable alchimie entre ta capacité physique, ta performance mentale, ta gestion de la fatigue et ton dépassement de soi.
Le corps en sport d’endurance est un moteur complexe qui demande une attention constante. Ton entraînement doit être pensé pour renforcer non seulement ta condition physique, mais aussi ton mental. Il faut travailler la discipline jour après jour, avec une préparation mentale rigoureuse qui t’aide à rester concentré, à gérer les moments difficiles, et surtout à maintenir ta motivation intacte sur des heures, voire des jours d’effort.
Chaque athlète est unique : ce qui fonctionne pour l’un ne marche pas forcément pour un autre. Comme le souligne Julien Deneyer, spécialiste du Summum et de l’Enduroman, il est indispensable de trouver ta propre méthode, ton propre rythme, ta propre manière de gérer la nutrition, la récupération et l’effort. La clé, c’est cette capacité à repousser tes limites tout en respectant ton corps, à ne jamais sacrifier ta santé pour une performance ponctuelle. Cette approche te permet de construire une résilience forte, un mental d’acier capable de faire face à la fatigue, aux blessures, ou aux imprévus qui surviennent forcément dans ces défis extrêmes.
Au-delà du physique, la performance mentale est ce qui fait souvent la différence entre un simple finisher et un véritable finisher performant. Tu dois apprendre à écouter tes sensations, à décrypter les signaux de ton corps, et à ajuster ton effort en conséquence. C’est ça, craquer le code des grandes épreuves comme l’Enduroman ou le Summum : comprendre que le mental et le physique sont indissociables, qu’ils avancent main dans la main. Sans une préparation mentale adaptée, même la meilleure condition physique ne suffira pas à te faire tenir dans ces conditions extrêmes.
Enfin, le sport extrême exige aussi une gestion pointue de tous les aspects de ta vie d’athlète. Ta nutrition, ta récupération, ton sommeil, ta capacité à rester discipliné dans l’entraînement, ta faculté à te motiver quand la fatigue te pousse à baisser les bras, tout cela s’intègre dans un équilibre subtil. En comprenant ce fonctionnement global, tu es mieux armé pour aborder ton défi d’ultra-endurance avec confiance, et surtout avec la volonté d’aller au bout, à ta façon.
Les bases de l’entraînement longue distance
Quand tu te lances dans une épreuve d’endurance comme un Ironman, un ultra trail, le Summum, ou l’Enduroman, tu dois comprendre une chose essentielle : il ne s’agit pas seulement de courir, nager ou pédaler longtemps. Il s’agit de construire un vrai système de progression, bâti sur un entraînement régulier, intelligent, et surtout adapté à ta propre réalité. Ce n’est pas une copie d’un plan trouvé sur Internet qui va te mener loin. Ce sont les heures, les essais, les erreurs, et surtout ton écoute interne qui font la différence.
Un sport d’endurance de ce niveau exige bien plus qu’un bon cardio ou des jambes solides. Tu dois apprendre à structurer ton entraînement autour de trois piliers : le corps, le mental et le temps. Le corps, c’est ta base : ta puissance, ton endurance musculaire, ta capacité à récupérer. Le mental, c’est tout ce qui te fera tenir quand tout lâche. Et le temps, c’est ta plus grande richesse. Tu dois l’apprivoiser pour progresser sans te blesser.
La discipline est ta meilleure alliée. Elle te pousse à t’entraîner même quand tu n’en as pas envie. Elle t’aide à maintenir le cap, à répéter encore et encore les bons gestes.

Sans discipline, tu ne vas nulle part. Et ça, Julien Deneyer l’a très bien compris. Quand il préparait l’Enduroman, il s’est appuyé sur une routine stricte, structurée, mais aussi très personnelle. Il ne suivait pas un plan générique. Il écoutait son corps, adaptait chaque semaine, testait, optimisait.
Ce que tu dois aussi intégrer dans ta préparation, c’est la performance mentale. Faire du long, ce n’est pas seulement physique. C’est souvent dans la tête que ça craque. Tu dois bosser ta préparation mentale au même titre que ton entraînement physique. Apprendre à gérer le doute, la solitude, l’effondrement. Car dans une épreuve comme le Summum, tu vas connaître ces moments où plus rien ne répond, où tout te dit d’arrêter. Et c’est là que tu dois activer ta résilience. Ne pas fuir. Rester. Tenir.
Ta motivation, elle ne tiendra pas si elle n’est que de surface. Pose-toi les bonnes questions dès maintenant : pourquoi tu fais ça ? Qu’est-ce que tu veux prouver ? À toi-même ou aux autres ? Ce sont ces réponses-là qui te permettront de repousser tes limites dans la durée. Parce qu’un Ironman ou un ultra trail, ce n’est pas une ligne d’arrivée, c’est un chemin. Et ce chemin t’oblige à te transformer. Tu ne fais pas que du sport : tu deviens quelqu’un d’autre.
Quand tu observes des athlètes comme Julien Deneyer, tu comprends qu’il n’y a pas de recette magique. Juste un engagement profond. Il n’a pas cherché à devenir une version extrême de quelqu’un d’autre. Il a choisi d’être lui, avec ses forces, ses failles, ses intuitions. Et c’est ce qui l’a mené à franchir la ligne d’arrivée du Summum et de l’Enduroman, ces deux épreuves parmi les plus dures du monde dans le monde du sport extrême.
Alors si tu veux réussir dans ce type de défi, commence ici : construis ton entraînement avec soin, travaille ta préparation mentale, cultive ta discipline, et n’oublie jamais que le vrai dépassement de soi commence quand tu arrêtes de vouloir copier les autres. C’est ton aventure. C’est ton code à craquer.
Adapter sa nutrition et sa récupération pour durer

Quand tu t’engages dans une épreuve d’ultra-endurance comme l’Ironman, l’Enduroman, le Summum ou un ultra trail, tu entres dans un autre monde. Un monde où le carburant que tu donnes à ton corps, et la manière dont tu le laisses récupérer, font toute la différence. Ce n’est pas juste une question d’entraînement physique. C’est un équilibre fin, un ajustement constant, où chaque détail peut avoir un impact immense sur ta capacité à repousser tes limites.
Dans ce type de sport d’endurance, la nutrition ne se limite pas à manger des pâtes la veille de la course. Elle devient une stratégie. Il faut comprendre ce que ton corps accepte, ce qu’il rejette, et comment il réagit sous l’effort prolongé. Tu dois tester, expérimenter, ajuster pendant des mois d’entraînement, pour arriver le jour J avec un plan que tu connais par cœur, mais que tu es aussi capable d’adapter en fonction des imprévus.
Julien Deneyer l’a parfaitement compris. Lui qui a affronté l’Enduroman — ce triathlon extrême reliant Londres à Paris — ou qui a imaginé et complété des épreuves aussi uniques que le Summum, t’expliquera que ce n’est jamais une science exacte. Ce qui fonctionne pour l’un peut être catastrophique pour l’autre. Certains carburent aux gels, d’autres aux vrais aliments. Certains supportent la déshydratation, d’autres explosent en vol s’ils ne boivent pas toutes les 10 minutes. C’est pour ça qu’il faut du temps, de la discipline, de la rigueur, mais aussi de l’écoute de soi.
Et c’est là que la performance mentale entre en jeu. Parce que dans une épreuve de sport extrême, c’est souvent quand tu es en déficit calorique, épuisé, que les pensées négatives affluent. Ta motivation s’effrite, tu commences à douter, à vouloir t’arrêter. C’est là que ton mental, ta préparation mentale, ta capacité à rester centré, à accepter la douleur sans t’identifier à elle, font toute la différence. Il ne suffit pas d’avoir mangé ce qu’il fallait : il faut aussi avoir préparé ton esprit à continuer même quand plus rien ne passe.
La récupération, elle, ne commence pas après l’épreuve. Elle commence pendant. Chaque moment où tu peux économiser de l’énergie, chaque micro-sieste, chaque pause bien placée, chaque étirement ou massage en phase de préparation, fait partie intégrante de ton succès. Et après l’épreuve, c’est encore une autre histoire. Savoir récupérer, c’est respecter ton corps. C’est faire preuve de résilience, ne pas vouloir tout relancer trop vite, accepter de reconstruire, lentement, ce que l’effort intense a déconstruit.
Dans un monde où les défis comme l’Ironman, le Summum, l’Enduroman ou d'autres formats ultra trail se multiplient, la vraie performance ne vient pas uniquement de ta vitesse ou de ta force. Elle vient de ton intelligence de course. De ta capacité à comprendre ton corps, à anticiper ses besoins, à l’écouter sans céder. C’est là que se joue le vrai dépassement de soi.
Alors si tu veux réussir ces épreuves hors normes, travaille ta discipline, entraîne ton esprit autant que ton corps, développe ta motivation au fil des mois, et surtout : apprends à connaître ce qui te nourrit et ce qui t’épuise. Tu n’es pas un autre. Tu es toi. Et c’est à partir de toi que tu vas pouvoir craquer ton propre code. Comme l’a fait Julien Deneyer, pas en copiant, mais en comprenant, en expérimentant, en avançant.
Gérer la fatigue, la douleur et l’imprévu dans les sports extrêmes
Quand tu te lances dans un sport d’endurance comme un ultra trail, un Ironman, un Enduroman ou une épreuve comme le Summum, tu sais que tu ne vas pas seulement courir, nager ou pédaler. Tu vas traverser des heures entières de doute, de douleur, de tensions musculaires, de maux de ventre, de fringales incontrôlables, de moments d’euphorie qui retombent brutalement. C’est ça, le cœur du sport extrême. C’est une plongée dans l’inconnu, un face-à-face avec tes propres limites. Et tout l’enjeu, c’est de savoir comment tu vas y répondre.
Ce n’est pas seulement ton corps qu’il faut entraîner, c’est aussi ta tête. La performance mentale, c’est ce qui te permet de tenir quand ton plan d’entraînement vole en éclats à cause d’une crampe, d’une hypo, d’une douleur imprévue ou d’une météo qui bascule. Et c’est souvent là, dans ce moment très précis, que tout se joue. La préparation mentale que tu mets en place en amont – dans ton quotidien, tes routines, ton sommeil, ton alimentation, ton dialogue intérieur – devient ton socle quand la souffrance s’installe.

La fatigue, elle ne prévient pas. Elle peut arriver dès les premières heures, ou t’écraser juste avant l’arrivée. Et ce n’est pas une question de niveau ou d’expérience : que tu sois sur ton premier Ironman ou que tu vises un Enduroman comme Julien Deneyer, tu y seras confronté un jour ou l’autre. Ce que fait la différence, c’est ta résilience. Ta capacité à tenir quand tu n’as plus envie, quand tu n’as plus de force, quand tu te demandes pourquoi tu es là. C’est là que tu retrouves ta motivation, ou que tu t’écroules.
Tu ne peux pas prédire l’imprévu, mais tu peux apprendre à le traverser. Pour ça, il faut travailler ta discipline, pas seulement dans l’entraînement, mais dans ta vie entière. Être rigoureux, être honnête avec toi-même, écouter ton corps sans lui céder tout le temps. Tu ne peux pas “craquer le code” d’un sport extrême comme le Summum sans être prêt à te remettre en question à chaque instant.
Et puis il y a ce que tu ne peux pas apprendre dans les livres : cette part d’intuition, de gestion de soi, d’écoute profonde. C’est ce que Julien Deneyer explique si bien. Lui, il n’a pas suivi une méthode miracle. Il a appris à se connaître. Il a découvert comment son corps et son esprit réagissaient dans les pires moments. Il a ajusté sa nutrition, sa récupération, ses temps d’effort. Il a compris que pour réussir un Enduroman, il ne suffisait pas de bien s’entraîner. Il fallait accepter de repousser ses limites, mais intelligemment. Savoir quand insister, quand ralentir, quand lâcher prise.
Alors oui, tu vas avoir mal. Tu vas douter. Tu vas penser à abandonner. Mais c’est là que tu te découvres. C’est là que le vrai dépassement de soi commence. Et quand tu arrives au bout, ce n’est pas seulement une ligne d’arrivée que tu franchis. C’est une version de toi-même que tu n’avais encore jamais vue.
La préparation mentale, clé de voûte de la réussite en ultra trail
Dans les sports d’endurance, on pense souvent que tout se joue dans les jambes, dans le souffle ou dans le plan d’entraînement. Mais si tu veux vraiment tenir sur une épreuve comme l’Enduroman, le Summum, ou un ultra trail, tu vas vite découvrir que ce qui fait la différence, c’est ta préparation mentale.
C’est là que tout commence, et c’est là que tout se casse parfois.
Quand tu t’alignes sur un Ironman ou une autre épreuve de sport extrême, tu sais que la douleur va venir. Que le doute va t’accompagner. Et que c’est justement dans ces moments-là que ta tête prend le relais. C’est cette résilience, cette capacité à repousser tes limites même quand ton corps veut abandonner, qui te fera aller au bout.
Tu peux avoir le meilleur des coachs, le plus beau plan d’entraînement, une alimentation parfaite, mais si tu ne cultives pas ta discipline mentale, tu n’iras pas très loin dans ce type de sport d’endurance. Ce n’est pas juste une question de mental "fort" — c’est une construction. Tu dois te forger un mental capable de tenir dans la durée, de supporter les imprévus, les retards, les blessures, le sommeil qui fout le camp, la météo qui t’écrase ou t’inonde.
Regarde Julien Deneyer, par exemple. Il a compris très tôt que pour réussir une épreuve comme le Summum ou l’Enduroman, il ne suffisait pas de s’entraîner physiquement. Il fallait apprendre à se connaître, à se recentrer. Il parle souvent de cette idée de "craquer le code" : trouver ton propre schéma, ton équilibre. Et ce code, ce n’est pas celui d’un autre, c’est le tien. Julien n’a pas copié une méthode, il s’est écouté, il a testé, il a ajusté. Il a cultivé sa motivation profonde. Et c’est ça qui l’a rendu capable de se dépasser, encore et encore.
Tu vois, dans ces formats longs comme le Summum, ce que tu vas vivre n’est pas seulement un défi sportif. C’est une plongée en toi. Un vrai travail d’introspection. Et pour t’y préparer, tu dois bâtir une performance mentale qui tient la route. Il faut de la discipline, une capacité à t’accrocher à ton pourquoi, à ton objectif, même quand tout semble contre toi.
Dans un ultramarathon, dans un Ironman, ou sur des formats comme la Barkley, on le voit : les plus performants ne sont pas toujours les plus rapides. Ce sont ceux qui ont appris à écouter leur voix intérieure, à naviguer dans l’inconfort, à faire du doute un compagnon de route et non un ennemi.
La préparation mentale, ce n’est pas un luxe dans le sport d’endurance, c’est une base. Et si tu veux réussir sur des formats comme l’Enduroman ou le Summum, il va falloir y consacrer autant d’énergie que ton plan d’entraînement.
Alors pose-toi les bonnes questions : pourquoi tu fais ça ? Où est ta vraie motivation ? Qu’est-ce que tu veux découvrir sur toi ? Et jusqu’où es-tu prêt à aller pour le savoir ?
Parce que c’est ça, au fond, le dépassement de soi : pas juste franchir une ligne d’arrivée, mais te transformer en chemin.
Développer une vraie résilience mentale

Quand tu te lances dans une épreuve d’ultra-endurance comme l’Ironman, l’Enduroman, le Summum, ou encore un ultra trail, tu découvres très vite que ton plus grand adversaire, ce n’est pas la distance, ni le dénivelé, ni même la météo. C’est toi. C’est ton mental. C’est cette voix intérieure qui te dit d’abandonner, de ralentir, de rentrer chez toi. Et pour réussir à aller au bout de ces épreuves de sport extrême, tu dois développer une résilience mentale solide comme le roc.
Ce type de sport d’endurance, que ce soit en triathlon ou en trail, va chercher quelque chose de très profond en toi. Il t’impose un dépassement de soi permanent. Tu n’avances pas juste avec tes jambes, tu avances avec tes pensées, avec ton histoire, avec tes failles aussi. C’est là que commence la vraie préparation mentale : pas sur une feuille d'entraînement, mais dans le dur, dans les moments où tu veux tout arrêter.
La résilience, ce n’est pas une qualité innée. C’est une capacité que tu construis, jour après jour, à l’entraînement comme dans la vie. Et elle ne se développe pas que sur les kilomètres avalés, mais sur ta capacité à rester debout, à tenir une ligne, à rester engagé même quand le corps dit non. C’est ça, la discipline. Ce n’est pas juste cocher des cases dans un plan d’entraînement, c’est garder ta motivation quand il n’y a plus de public, plus de dossard, plus de chrono. C’est résister à l’envie d’abandonner quand tout autour de toi te pousse à lâcher.
Dans une épreuve comme l’Enduroman – l’une des plus dures au monde – ou dans un défi sur-mesure comme le Summum, la performance mentale prend parfois même le dessus sur les qualités physiques. Il ne s’agit plus de courir vite ou de pédaler fort, mais d’accepter la lenteur, l’incertitude, la douleur… et de continuer malgré tout.
Et si tu veux un exemple concret de ce que représente cette résilience mentale, regarde le parcours de Julien Deneyer. Quand il s’est engagé sur le Summum, il n’avait pas un plan précis, ni une méthode miracle. Il avait surtout cette volonté de se découvrir lui-même, d’apprendre à gérer l’inconnu, à avancer sans tout maîtriser. Il l’a dit lui-même : chacun doit trouver sa façon d’aborder ces épreuves, car ce qui marche pour l’un ne fonctionne pas forcément pour l’autre.
Ce que Julien Deneyer incarne, c’est l’idée qu’en ultra-endurance, tu ne copies pas un modèle. Tu construis le tien. Tu testes, tu ajustes, tu tombes, tu repars. Et c’est exactement là que se construit ta résilience. Dans cette capacité à rester en mouvement, à t’adapter, à garder ton cap même quand les repères s’effondrent.
Alors si tu veux aller loin en Ironman, en ultra trail ou dans n’importe quel sport d’endurance, commence par là : entraîne ton mental comme tu entraînes ton corps. Crée une routine de préparation mentale, entoure-toi de repères, trouve ta motivation profonde, et surtout, apprends à repousser tes limites de l’intérieur. Parce que c’est dans ta tête que se joue la victoire. Toujours.
S’entraîner à repousser ses limites dans l’effort
Quand tu t’attaques à une épreuve comme l’Ironman, l’Enduroman, ou le Summum, tu comprends rapidement que ce n’est pas qu’une question de kilomètres. Ce sont des épreuves hors normes, parmi les plus dures du monde, où tu passes des heures, parfois des jours, à te battre contre toi-même. Dans ce genre de sport extrême, ce qui compte, ce n’est pas uniquement ton niveau d’entraînement, c’est ta capacité à repousser tes limites. Et ça, ça s’apprend, ça se travaille, ça s’entraîne.
La première chose que tu dois comprendre, c’est que le corps n’avance que si l’esprit suit. Sans motivation, sans préparation mentale, tu peux avoir tous les kilomètres dans les jambes, tu ne tiendras pas. Parce que dans l’ultra trail, dans le sport d’endurance, il y aura forcément un moment où ton corps dira stop. Et c’est là que commence vraiment l’épreuve : quand tu entres dans le dur, que tu perds tes repères, que tu n’as plus de force et que pourtant, tu continues. Ce n’est pas une posture héroïque, c’est juste une logique de résilience, de discipline, de petit pas après petit pas.
S’entraîner à repousser ses limites, ça ne veut pas dire se blesser ou aller au carton. C’est apprendre à aller plus loin dans l’inconfort, à rester lucide même quand tu es au fond du trou. C’est accepter de t’exposer, de sortir de ce que tu connais. Dans un sport d’endurance comme le triathlon extrême, tu dois apprendre à composer avec tes failles, avec tes émotions, avec la solitude. Et ça, ça passe par une vraie stratégie de performance mentale. Il faut t’entraîner aussi sérieusement à gérer les coups durs que tu t’entraînes à nager, pédaler ou courir.
Quand Julien Deneyer parle du Summum ou de l’Enduroman, il dit souvent que chacun doit trouver ses propres codes. Et c’est vrai. Il n’y a pas de recette miracle. Ce qui marche pour lui ne marchera pas forcément pour toi. Certains carburent aux mantras, d’autres à la colère, d’autres encore au silence. Mais tous, absolument tous, ont appris à écouter ce moment où la machine coince… pour la débloquer autrement que par la force brute. Par l’expérience, par la patience, par l’ajustement.
Tu ne peux pas te préparer pour ces courses sans intégrer cette dimension-là. L’endurance, ce n’est pas qu’un effort physique, c’est une façon d’habiter le monde, une manière de dire "je reste", même quand tout te pousse à abandonner. Et pour ça, il faut que tu crées tes propres outils mentaux. Que tu travailles ta préparation mentale comme un art à part entière, au même titre que ton plan d’entraînement.
Si tu veux réussir un défi comme un ultra trail, un Ironman, un Enduroman, ou un Summum, tu dois accepter de passer du temps avec toi-même, de faire face à tes peurs, à ton égo, à tes envies de fuite. Tu dois apprendre à te parler autrement, à t’encourager, à ne pas céder à la panique ou au doute. Ce n’est pas magique, mais c’est possible. Et plus tu le fais, plus tu avances. C’est ça, le dépassement de soi. Pas un sprint vers la douleur, mais une marche lente vers ta propre vérité.
Alors si tu veux progresser, inspire-toi de ceux comme Julien Deneyer, qui ont osé entrer dans ces territoires. Pas pour copier leur méthode, mais pour comprendre qu’ils sont passés par là, eux aussi. Et que c’est en forgeant ta propre manière d’aborder l’endurance, le sport d’endurance, le sport extrême, que tu seras prêt, vraiment prêt, à repousser tes limites.
Le rôle fondamental de la discipline dans la réussite
Tu peux t’entraîner des mois, lire tous les livres sur la préparation mentale, suivre les meilleurs plans d’entraînement ou copier les stratégies d’un champion… mais si tu ne cultives pas une vraie discipline, tu ne tiendras pas sur la durée. C’est encore plus vrai dans les épreuves d’ultra-endurance comme le Summum, l’Enduroman, ou même un Ironman classique. Dans ce genre de sport d’endurance, la différence se fait rarement à la seule force physique. Elle se joue dans la tête. Et surtout : dans les habitudes que tu choisis d’installer, jour après jour.
La discipline, c’est ce qui t’aide à garder le cap quand ta motivation flanche. Parce que tu vas flancher, à un moment. Sur un ultra trail, un sport extrême ou une épreuve d’endurance au long cours, tu n’es pas toujours à fond. Il y a des jours sans, des blessures, des nuits trop courtes, des moments où tu doutes, où tu ne sais même plus pourquoi tu t’infliges ça.

Et c’est là que la discipline prend le relais. Pas comme une prison, mais comme une structure qui t’ancre, qui te permet d’avancer même quand ton corps ou ton mental lâchent temporairement.
Quand tu regardes un athlète comme Julien Deneyer, qui a su performer sur des épreuves comme l’Enduroman ou le Summum, tu te rends compte que ce n’est pas juste une question de talent ou de mental hors norme. Julien, c’est un gars qui a intégré la discipline comme un mode de vie. Il a appris à se connaître en profondeur, à ajuster son entraînement, à expérimenter sans cesse pour améliorer sa performance mentale, à écouter son corps… Mais surtout, il n’a jamais cessé de construire son propre chemin, à force de patience et de rigueur. Et c’est ça, le vrai dépassement de soi : avancer, même quand t’as pas envie, même quand ça pique, même quand personne ne regarde.
Dans les sports d’endurance, et a fortiori dans les formats comme le Summum, qui frôle parfois l’épreuve initiatique, tu ne peux pas tricher. C’est la discipline qui t’apprend à repousser tes limites sans te brûler. Elle t’oblige à revenir à l’essentiel, à arrêter de te comparer, à faire le boulot même quand le reste du monde te dit d’arrêter.
Alors oui, tu peux t’inspirer des autres. Tu peux regarder comment Julien Deneyer a préparé son Enduroman, comment il a géré son ultra trail, comment il a maintenu sa résilience dans la durée. Mais au fond, le vrai boulot commence quand tu acceptes d’installer, dans ta propre vie, cette forme de rigueur silencieuse qui ne cherche pas à briller, mais à t’élever. C’est là que tu deviens un vrai pratiquant de sport extrême, pas juste un amateur de défis. Et c’est là que tu transformes ton parcours en quête personnelle, authentique et puissante.
Le rôle de la motivation dans un défi de longue haleine
Quand tu t’engages dans une épreuve d’ultra-endurance comme le Summum, l’Enduroman, un ultra trail, un Ironman ou même un barkley, il faut être clair sur un point : la motivation ne suffit pas, mais sans elle, tu ne vas nulle part. Elle est la flamme de départ, celle qui t’amène à dire “j’y vais”, mais c’est aussi celle qu’il faut entretenir pendant des mois d’entraînement, de doute, de fatigue, de sacrifices. Dans ces sports d’endurance qui vont chercher loin dans l’humain, il ne s’agit pas seulement de courir, nager ou pédaler longtemps. Il s’agit de savoir pourquoi tu le fais.
Tu peux avoir un plan d’entraînement parfait, une stratégie millimétrée, la meilleure logistique, mais si tu n’as pas un pourquoi solide, tu abandonnes. Parce que l’Enduroman ou le Summum, ce ne sont pas des formats de compétition classiques. Ce sont des sports extrêmes, construits pour tester ta résilience, ta discipline, ta capacité à repousser tes limites sans aucune garantie de réussite.
Et c’est là que le travail sur la préparation mentale prend tout son sens. Tu dois te poser les bonnes questions : qu’est-ce qui me pousse à y aller ? Qu’est-ce qui va me tenir quand je serai seul dans le froid, la nuit, au 150e kilomètre ? Ce travail intérieur, c’est du vrai dépassement de soi, et ce n’est pas toujours très visible sur une montre GPS.
Dans l’ultra trail comme dans l’Ironman, beaucoup de participants abandonnent non pas à cause d’un manque de jambes, mais à cause d’un effondrement mental. Parce que leur motivation était extérieure : une médaille, un chrono, une validation. Or ce qui fait tenir dans ces épreuves d’endurance, ce sont les raisons profondes, personnelles, parfois même intimes.
Julien Deneyer en est un excellent exemple. Quand on parle avec lui du Summum ou de l’Enduroman, on comprend vite que sa vision n’est pas tournée vers la performance brute. Il parle de “débloquer l’énigme”, de se découvrir soi-même. Pour lui, l’entraînement, la discipline, la résilience ne sont pas des outils au service de l’égo, mais des moyens d’exploration. Son approche de ces sports d’endurance est guidée par une motivation intérieure, presque philosophique : comment aller plus loin non seulement physiquement, mais humainement.
Toi aussi, tu peux t’inspirer de ça. Si tu veux réussir un Ironman, un ultra trail, un Enduroman ou le Summum, commence par construire ton moteur. Pas celui qui va te faire gagner, mais celui qui va t’empêcher d’abandonner. Alimente-le avec du sens. Nourris-le de ton histoire, de ce que tu veux prouver à toi-même, de ce que tu veux transformer en toi.
Parce qu’au bout de l’endurance, il n’y a pas juste une ligne d’arrivée. Il y a une version de toi-même que tu n’aurais jamais rencontrée autrement. Et ça, c’est une performance mentale bien plus grande que n’importe quel chrono.
Trouver son "pourquoi" pour tenir dans l’effort
Quand tu t’attaques à une épreuve d’endurance comme un ultra trail, un Ironman ou un défi encore plus hors norme comme l’Enduroman ou le Summum, il y a une question que tu dois te poser très tôt, bien avant l’entraînement : pourquoi tu fais ça ?
C’est une question de fond. Une question de sens. Parce que dans ce type de sport extrême, il ne s’agit pas seulement de courir, nager ou pédaler plus longtemps. Il s’agit de résister plus longtemps. À la douleur, au doute, à l’envie d’abandonner. Et à ce moment-là, ce n’est plus ton corps qui décide : c’est ta motivation, ta préparation mentale, ta résilience, et surtout ton "pourquoi".
Dans les sports d’endurance, ce que tu mets derrière ton objectif devient ton moteur principal. Ce n’est pas le chrono qui te fait tenir, ni la médaille. C’est la raison intérieure qui te pousse à te lever chaque matin pour aller t'entraîner, même quand tu es fatigué. C’est ce feu qui te pousse à repousser tes limites encore et encore, dans les moments les plus durs de la course.
Julien Deneyer, qui est une référence sur des épreuves comme l’Enduroman ou le Summum, le dit lui-même : il n’y a pas de recette miracle. Chacun doit trouver ses propres réponses, ses propres codes. Et ce "pourquoi", c’est souvent la première clé. Ce n’est pas quelque chose que tu peux copier chez quelqu’un d’autre. Ce n’est pas transmissible. C’est à toi de le trouver, au fond de toi.
Si tu ne sais pas pourquoi tu fais ça, tu n’iras jamais au bout d’un ultra trail, d’un Ironman, ou pire encore, d’un Summum. Parce que ces formats-là, ce sont des épreuves qui dépassent l’endurance physique. Ce sont des aventures humaines où la performance mentale est aussi, voire plus importante que l’aspect physique.
Et pour ça, il faut de la discipline. Tu vas passer des semaines, des mois à t'entraîner. Parfois dans la solitude. Parfois sous la pluie, le froid, la chaleur. Il faut que ton "pourquoi" soit assez fort pour résister à tout ça. Parce que l’entraînement n’est pas juste un plan à suivre, c’est un engagement. C’est une construction de ton mental, de ta volonté, de ta confiance.
Ton "pourquoi", ce n’est pas juste une phrase à afficher sur ton mur. C’est une source d’énergie mentale. Une ressource de résilience dans les moments où tout lâche. Quand tu as envie de jeter l’éponge. Quand ton corps te dit stop. Quand tu as la tête dans le seau à mi-chemin d’un Enduroman, ou dans la nuit noire sur un ultra trail au kilomètre 120. C’est ce "pourquoi" qui te fera avancer, un pas après l’autre.
Alors pose-toi la question. Est-ce que tu fais ça pour prouver quelque chose aux autres ? Pour chercher une forme de reconnaissance ? Pour te transformer de l’intérieur ? Pour explorer tes limites ? Pour ressentir une liberté que seul le sport d’endurance t’apporte ? Quelle que soit ta réponse, elle doit être honnête. Profonde. Et personnelle. C’est elle qui t’accompagnera tout au long du chemin.
Julien Deneyer, dans sa préparation pour des défis comme l’Enduroman, ne s’est jamais contenté d’un objectif vide. Il s’est construit avec du sens, avec une réflexion constante sur son approche, sur ce qu’il voulait apprendre de lui-même. Et c’est sans doute ce qui l’a amené à devenir un point de repère pour d’autres. Parce qu’il ne s’agit pas seulement de finir. Il s’agit de comprendre pourquoi on commence. Et ce "pourquoi", c’est peut-être la forme la plus pure de dépassement de soi.
Comment entretenir la flamme sur des mois de préparation ?

Quand tu te lances dans une épreuve d’ultra-endurance comme le Summum, l’Ironman, l’Enduroman, ou même un ultra trail, tu ne t’engages pas pour quelques semaines. Tu signes pour des mois de discipline, d’entraînement, de questionnements, et parfois même de solitude. Ce qui fait la différence, ce n’est pas seulement ta forme physique ou ton plan d’entraînement, mais ta motivation, ton état d’esprit, ta résilience et ta capacité à garder le cap jour après jour.
Au début, tout est simple. Tu es porté par l’excitation du projet, l’adrénaline du défi. Tu visualises ton arrivée, tu penses à ton dépassement de soi, à l’image de toi franchissant la ligne d’arrivée après avoir repoussé tes limites. Mais très vite, la réalité du quotidien revient : les réveils à 5 h du matin pour aller courir, les week-ends sacrifiés pour des longues sorties, les douleurs qui s’installent, les doutes, et ce corps qui fatigue.
C’est là que le travail sur la préparation mentale devient essentiel. Ce n’est plus juste une question de kilomètres à accumuler, mais de savoir pourquoi tu fais tout ça.
Chaque séance d’entraînement doit avoir un sens. Chaque douleur doit être replacée dans une vision plus globale. Tu n’es pas là pour subir, tu es là pour te construire. Le sport d’endurance n’est pas seulement une affaire de jambes, c’est une école du mental.
Quand tu suis un parcours comme celui de Julien Deneyer, tu comprends une chose essentielle : la performance ne vient pas d’un modèle tout fait. Elle vient de l’intérieur. Julien, il a compris que chacun doit trouver sa propre formule. Pas une copie conforme de ce que fait un autre athlète. Lui, il s’est appuyé sur son instinct, il a ajusté son alimentation, adapté sa charge d’entraînement, et surtout, il n’a jamais cessé de se questionner. C’est ça, le vrai travail d’un athlète d’ultra-endurance : ne jamais s’arrêter d’apprendre sur soi.
Alors comment tu fais, toi, pour ne pas t’éteindre en route ? Tu entretiens ta flamme en t’entourant des bonnes personnes, en parlant avec des profils comme Julien Deneyer, en te rappelant que cette quête est plus grande que toi. Tu redonnes du sens à chaque levée de soleil sur les sentiers, à chaque nuit froide à vélo ou à pied, à chaque plongée intérieure. Parce que derrière le sport extrême, il y a un chemin de connaissance de soi. Derrière chaque ironman, chaque summum, chaque enduroman, il y a une aventure personnelle que personne d’autre ne peut écrire à ta place.
Et tu sais quoi ? Même si parfois, tu trébuches, tu ralentis, tu doutes, tant que ta flamme intérieure reste là, tant que tu crois au fond de toi que tu peux aller plus loin, tu continueras à avancer. C’est ça la vraie performance mentale. Ce n’est pas être invincible. C’est être habité.
Et ça, c’est ce qui fait toute la différence.
L’exemple inspirant de Julien Deneyer face à l’Enduroman et au Summum
Quand tu te lances dans une épreuve d’ultra-endurance, tu cherches des repères. Des exemples de ceux qui ont osé, qui ont chuté, recommencé, et réussi. Julien Deneyer fait partie de ces figures discrètes, mais solides. Celles qui ne cherchent pas la lumière, mais qui incarnent l’essence même du sport d’endurance : avancer coûte que coûte, avec humilité, patience et discipline.
Si tu t’intéresses à l’Enduroman, ce défi légendaire qui relie Londres à Paris à la nage, à vélo puis en courant, tu tomberas forcément sur le nom de Julien Deneyer. Ce qu’il a accompli dans cette épreuve n’est pas simplement une question de temps ou de classement. C’est le fruit d’années d’entraînement, d’un travail minutieux sur la préparation mentale, d’une écoute fine du corps, et surtout, d’une capacité à se réinventer sans cesse.

Julien, c’est celui qui a aidé d’autres à découvrir l’Enduroman, celui qui a marqué l’histoire en posant une marque de référence sur ce type de sport extrême. Et pourtant, il te dira que rien n’est jamais acquis. Ce n’est pas un modèle qu’on copie. C’est un parcours dont on s’inspire pour construire le sien. C’est ce qui fait la beauté d’un défi comme le Summum : il ne s’aborde pas avec un manuel, mais avec une envie profonde de repousser ses limites, d’aller chercher un dépassement de soi qui soit vrai, incarné, personnel.
Dans cette conversation entre lui et moi, on évoque la complexité de ces formats, ces ultra trails ou Ironman réinventés, qui ne sont plus simplement des courses, mais des quêtes. Chacun y entre avec ses propres codes, ses propres énigmes à résoudre. Tu ne peux pas copier une routine de nutrition, ou dupliquer une stratégie mentale. Ce que Julien a compris — et transmis — c’est que la clé, c’est la résilience. Accepter que ce qui fonctionne un jour peut échouer le lendemain. Accepter d’être surpris. Et rester en mouvement.
Sa motivation, il ne la puise pas dans la gloire, mais dans la recherche intérieure. L’endurance, chez lui, ce n’est pas seulement physique. C’est une posture mentale. C’est une façon d’être dans l’effort, dans la durée, dans le doute. Il ne court pas après un podium, il court pour aller plus loin dans la compréhension de ce qui le fait vibrer. Et ce cheminement, il le fait avec méthode, mais aussi avec lâcher-prise. Avec la tête froide et le cœur ouvert.
C’est ça, au fond, que tu peux apprendre de Julien Deneyer. Que réussir une épreuve comme le Summum ou l’Enduroman, ce n’est pas simplement cocher des cases d’entraînement ou suivre un protocole de préparation mentale. C’est construire ton propre langage de l’ultra-endurance. C’est écouter ce que te dit ton corps quand il hurle, ce que murmure ta tête quand elle doute, et ce que crie ton cœur quand il veut abandonner.
Tu veux te lancer dans un Ironman, un ultra trail, ou un défi hors-norme ? Tu veux explorer un sport extrême où tout est à inventer ? Commence par te poser les bonnes questions. Sois prêt à te tromper, à recommencer, à apprendre. Et surtout, cultive cette discipline douce mais ferme qui t’amènera là où les autres s’arrêtent.
Comme Julien.