
Trop réfléchir, un mal du siècle qu’on banalise trop souvent
Tu le sens, toi aussi, ce moment où ton cerveau tourne à vide, comme un disque rayé ? Cette impression d’être coincé dans une boucle sans fin, à force de trop réfléchir ? Si tu es là, à lire ces lignes, c’est peut-être que tu connais ça de près. C’est insidieux. Ça commence par une petite hésitation, un doute, puis ça devient un poids. Et ce poids, il s'appelle la charge mentale. Elle s’installe lentement, sans prévenir, jusqu’à t’étouffer.
Trop réfléchir, c’est comme ramer sur un bateau qui prend l’eau, sans jamais lever la tête pour voir le rivage. C’est vouloir tout contrôler, tout anticiper, tout comprendre. Et à force de trop penser, tu perds le goût d’agir. Tu restes bloqué dans des pensées négatives, des “et si”, des “j’aurais dû”, des “je n’y arriverai pas”. Résultat ? Tu ne fais rien. Tu n’oses plus passer à l’action, tu doutes de tout, même de toi.
Et ce doute, il s’installe profond. Il te fait perdre confiance en toi. Il te coupe de ce que tu ressens vraiment. Tu n’écoutes plus ton instinct, ton envie. Tu n’oses plus prendre des décisions, ou alors tu passes des heures à retourner le problème dans tous les sens. Tu veux tout bien faire, mais tu t’épuises. C’est ça aussi, la fatigue mentale : ce moment où ton cerveau devient ton pire ennemi, alors qu’il devrait être ton allié.
Laurence Blanchard en parle souvent. Elle, elle dit qu’elle ne supporte pas de rester en place. Qu’elle préfère bouger, agir, se lancer. Elle n’a pas peur de tout quitter, de vivre l’instant présent à fond. Parce qu’elle a compris un truc essentiel : si tu veux avancer, si tu veux vraiment être heureux, il faut savoir arrêter de penser. Oui, arrêter de penser. Poser le cerveau. Écouter le corps, les émotions, ce qu’il y a là, maintenant.
Et surtout, lâcher prise. Pas pour tout abandonner, non. Mais pour respirer. Pour faire de la place. Pour que les choses circulent à nouveau. Parce que sinon, tu le sais, tu t’enfermes. Tu risques le burn out, ou pire encore : passer à côté de ta vie, par peur de te tromper.
Alors oui, trop réfléchir, c’est un mal moderne. Un piège silencieux. Mais il existe des chemins pour en sortir. Il faut juste oser te dire : “Et si je me faisais confiance ? Et si je choisissais de dépasser mes doutes au lieu de les entretenir ?”
Le changement ne commence pas quand tu comprends tout, mais quand tu te permets d’avancer, sans tout comprendre.
Pourquoi on passe nos journées à trop réfléchir sans s’en rendre compte ?
Tu ne t’en rends peut-être pas compte, mais trop réfléchir est devenu presque un réflexe. Dès le matin, ton cerveau se met en route avant même que tes pieds touchent le sol. Il pense à la réunion de 10h, au message auquel tu n’as pas encore répondu, à ce que tu aurais dû dire hier soir, à ce que tu devrais faire demain. Tu anticipes, tu rumines, tu révises mentalement des conversations que tu n’as même pas encore eues. Et tout ça, sans en avoir conscience. C’est là que commence cette charge mentale invisible qui te colle à la peau du lever au coucher.
À force, cette hyperactivité mentale te vide. Elle t’épuise sans bruit. Ce qu’on appelle la fatigue mentale, c’est exactement ça : ce poids de devoir tout gérer, tout comprendre, tout prévoir, tout contrôler… tout le temps. Et plus tu laisses ton mental prendre le dessus, plus il devient difficile de lâcher prise, même sur les choses les plus simples.
Tu vois, Laurence Blanchard, elle, a décidé de fonctionner autrement. Dans son quotidien, elle refuse de rester enfermée dans des pensées qui tournent en boucle. Elle ne cherche pas à tout planifier, à tout verrouiller.

Ce qu’elle incarne, c’est l’idée qu’on peut vivre autrement : vivre l’instant présent, sans se laisser submerger par ce brouhaha intérieur.
Le problème, c’est que trop réfléchir t’empêche d’agir. Tu passes ton temps à te demander si tu fais le bon choix, si tu pourrais faire mieux, si tu vas regretter. Tu n’arrives plus à prendre des décisions simples. Et à force de tourner en rond, tu bloques. Tu n’oses plus passer à l’action, parce que chaque possibilité t’envoie dix nouvelles pensées négatives. Alors, tu doutes. Tu retardes. Tu freines.
Ce que tu ignores souvent, c’est que pour avancer, il faut justement arrêter de penser en boucle. Il faut sortir du mental, sortir du contrôle, et dépasser ses doutes en expérimentant. Pas en calculant tous les scénarios à l’avance.
Parce que sinon, tu risques gros. Tu t’enfermes dans une spirale. Tu t’épuises à l’intérieur. Tu perds ta confiance en soi parce que tu n’agis plus. Et quand tu n’agis plus, tu n’évolues plus. Tu t’enlises. C’est comme ça que tu finis par t’approcher, sans t’en rendre compte, d’un vrai burn out.
Alors oui, poser ton cerveau, ça s’apprend. Ce n’est pas naturel quand tu as été élevé dans une culture où réfléchir, anticiper, analyser sont vus comme des preuves d’intelligence. Mais il y a une autre forme d’intelligence, plus instinctive, plus alignée. Une intelligence du corps, du cœur, du ressenti. C’est elle qu’il faut retrouver si tu veux éviter le burn out, retrouver de la légèreté, et vivre l’instant présent sans regrets.
Et ça commence peut-être ici. Par cette lecture. Par cette prise de conscience. Et bientôt, peut-être, par ton premier pas vers l'action.
Entre charge mentale et fatigue mentale, le cerveau sature

Tu connais sûrement cette sensation : celle d’un cerveau en surchauffe, qui ne s’éteint jamais. Tu te réveilles fatigué·e, tu passes la journée à jongler entre pensées, doutes, listes mentales, et tu t’endors avec le cerveau encore allumé, comme s’il refusait de lâcher prise. Bienvenue dans la spirale infernale de la charge mentale et de la fatigue mentale. Ces deux-là sont les symptômes invisibles de notre époque, et si tu lis ces lignes, c’est peut-être que toi aussi, tu en as assez de trop réfléchir.
Trop réfléchir, c’est penser à ce que tu n’as pas encore fait, à ce que tu aurais pu faire autrement, à ce que tu dois encore accomplir demain. C’est vivre dans un futur hypothétique plutôt que de vivre l’instant présent. Et plus tu es dans le mental, plus tu t’épuises. Ce n’est pas une faiblesse : c’est un mécanisme que tu peux reconnaître, apprivoiser, puis transformer. Parce qu’à force de laisser ton cerveau tout diriger, tu oublies comment passer à l'action, comment prendre des décisions simples sans tout analyser cent fois. Tu t’empêches même parfois d’essayer, par peur de te tromper.
Les pensées négatives s’invitent alors, comme un brouillard qui t’empêche de voir clair. Tu perds peu à peu ta capacité à choisir, à avancer, et tu finis par douter de toi. Le doute est naturel, mais quand il devient constant, il t’empêche de dépasser tes doutes et de construire ta propre route. Tu vois, on croit souvent qu’il faut réfléchir plus pour être sûr. Mais en réalité, il faut parfois arrêter de penser pour retrouver une forme de paix, une confiance en soi qui ne dépend plus de la validation des autres ni d’un plan parfait.
Laurence Blanchard, elle, l’a compris à sa façon. Ce qu’elle incarne, c’est le mouvement. C’est quelqu’un qui a refusé de s’enfermer dans l’immobilisme mental. Elle a déménagé, recommencé, osé dire « on part », et cette façon de foncer, de ne pas rester figée, c’est une réponse directe à la charge mentale qui fige tant d’entre nous. Elle n’aime pas réfléchir, elle n’aime pas s’ennuyer — pas parce qu’elle fuit, mais parce qu’elle sait que lâcher prise, c’est choisir la vie, pas la subir.
Et si tu continues à trop réfléchir, à analyser chaque situation sous tous les angles, alors tu prends le risque de ne jamais oser. Tu risques aussi, à terme, de tomber dans le burn out, ce moment de rupture où ton corps te force à t’arrêter parce que tu ne l’as pas écouté à temps.
Mais tu peux faire autrement. Tu peux décider aujourd’hui de ralentir les pensées, d’éviter le burn out, d’apprendre à vivre l’instant présent, à faire de la place pour toi. C’est possible de relâcher la pression, de sortir du mental, de faire confiance à ton instinct. Tu n’as pas besoin de tout comprendre avant d’agir. Tu peux choisir de passer à l’action, simplement, et de retrouver la légèreté d’un mouvement qui vient du cœur.
Alors oui, ton cerveau est peut-être saturé. Mais la bonne nouvelle, c’est que tu peux changer ça. Pas à pas. Pas en cherchant la perfection, mais en acceptant de commencer là où tu es.
Comment les pensées négatives créent un cercle vicieux dans la tête ?
Tu l’as sûrement déjà vécu : un petit doute qui s’installe, une hésitation, une fatigue passagère… et d’un coup, ton cerveau s’emballe. Tu te mets à trop réfléchir, à ressasser, à imaginer tous les scénarios possibles. C’est là que commencent les pensées négatives, et si tu ne les arrêtes pas à temps, elles prennent toute la place.
Tu peux te dire que ce n’est “pas grave”, que ça va passer, mais en réalité, plus tu laisses ton mental tourner, plus tu alimentes ta propre charge mentale. Tu penses à ce que tu aurais dû dire, faire, éviter, changer… et tu oublies complètement de vivre l’instant présent.
Le problème, c’est que plus tu réfléchis, plus tu perds en clarté. Tu te retrouves bloqué entre mille options, et chaque petite décision devient une montagne. Prendre des décisions devient un combat quotidien. Résultat ? Tu repousses, tu évites, tu doutes. Et ce doute, justement, il se transforme peu à peu en fatigue mentale. Un truc lourd, diffus, qui t’épuise sans que tu comprennes vraiment pourquoi.
Si tu veux dépasser tes doutes, il faut commencer par reconnaître ce cercle vicieux. Oui, penser peut être utile, mais trop penser t’empêche de bouger. Tu restes figé, alors que ce que tu veux vraiment, c’est passer à l’action. C’est ça, le vrai lâcher prise : arrêter de tourner en rond dans ta tête, pour faire un pas, même petit.
Et tu sais quoi ? Ce n’est pas une faiblesse de dire "j’en ai marre de réfléchir". Ce n’est pas un aveu d’échec. C’est même une forme de sagesse. Arrêter de penser, ce n’est pas renoncer. C’est choisir. C’est dire “ok, j’ai assez réfléchi, maintenant je vais avancer, quitte à me tromper”. C’est comme ça qu’on apprend à avoir confiance en soi.
C’est aussi comme ça qu’on peut éviter le burn out. Car à force de tout passer au filtre du mental, tu risques de t’épuiser, d’éteindre ton énergie vitale. Il faut parfois se dire : “Stop. Là, c’est mon cerveau qui sabote ma vie. Il est temps de revenir à moi.”
Et tu veux savoir ce que Laurence Blanchard en pense ? Elle, elle a fait un choix radical : elle fonce. Elle quitte tout, elle change de ville, elle décide. Elle ne laisse pas son mental la paralyser. Elle refuse de s’enfermer dans des schémas de pensée destructeurs. Son truc à elle, c’est le mouvement. L’action. Elle te dirait sûrement : “Pose ton cerveau, écoute ton élan, avance. Tu verras, le reste suivra.”
Alors oui, sortir des pensées négatives, ça demande du courage. Mais surtout, ça demande un peu de confiance. En toi. En la vie. En ta capacité à agir, à te relever, à créer ta route. Et ça, tu l’as déjà en toi.
Lâcher prise : un mot simple, une clé puissante pour arrêter de penser
Tu vois, parfois, tu crois que tu dois tout comprendre avant d’agir. Tu tournes les choses dans ta tête, encore et encore, jusqu’à l’épuisement. Tu veux être sûr de ne pas te tromper, tu analyses, tu anticipes, tu rumines… et au final, tu n’avances pas. C’est ça, trop réfléchir. Et à force, ce truc devient un frein, une sorte de saboteur silencieux qui t’épuise. C’est de la fatigue mentale déguisée en logique.
Et tu le ressens, cette charge mentale qui pèse dès le matin. Tu penses à ce que tu dois faire, à ce que tu aurais dû dire, à ce qui pourrait arriver demain. Ton cerveau est en mode survie, jamais en mode pause. Tu n’as même plus le temps de vivre l’instant présent. Parce que tu n’es jamais là. Tu es déjà dans ce que tu dois faire après, ou dans ce que tu regrettes d’hier.
Et c’est là qu’il faut lâcher prise. Pas pour tout laisser tomber, mais pour reprendre de l’air. Lâcher prise, c’est arrêter de penser à ta place. C’est faire confiance à autre chose que ton mental. C’est accepter que parfois, tu n’as pas besoin d’avoir toutes les réponses pour avancer.
Tu sais ce qui change tout ? C’est quand tu passes à l’action sans attendre que tout soit clair. C’est là que tu reprends le pouvoir. Quand tu prends une décision, même imparfaite, tu te libères d’un poids. Tu commences à dépasser tes doutes. Tu vois qu’agir, même avec un peu de flou, vaut mieux que rester coincé dans ta tête.
Et puis, à force, tu retrouves cette confiance en toi que tu pensais avoir perdue. Parce qu’à force d'agir, tu prouves à ton cerveau que tu es capable. Que tu n’as pas besoin d’un plan parfait pour te lancer. Tu poses un pas, puis un autre. Tu sors du mental et tu rentres dans la vie. Et tu vois que le burn out, ce n’est pas une fatalité. Tu peux l’éviter en apprenant à t’écouter et à poser les armes mentales avant qu’il ne soit trop tard.
Moi, Laurence Blanchard, j’ai compris ça un jour où j’en avais marre de tourner en rond dans mes pensées. J’ai quitté un confort apparent pour une vie pleine de mouvement. Ce n’était pas un calcul. Ce n’était pas réfléchi. C’était une pulsion de vie. J’ai compris que je ne voulais plus réfléchir, je voulais vivre. Et pour vivre, j’ai dû lâcher prise.
Alors aujourd’hui, je t’invite à faire pareil : arrête un moment de penser à penser. Prends ce temps pour ressentir. Pour faire. Pour poser ton cerveau et bouger ton cœur.
C’est là que commence ta vraie liberté.
Lâcher prise, ce n’est pas abandonner, c’est respirer
Tu sais, lâcher prise, ce n’est pas abandonner, loin de là. C’est bien plus profond que ça. C’est un vrai acte de courage qui te permet de faire un break avec ce réflexe de trop réfléchir qui t’épuise, cette fameuse charge mentale qui pèse sur toi jour après jour. Parce que trop réfléchir, ça crée une fatigue mentale terrible, un brouillard qui embrouille tes idées et t’empêche de vivre pleinement.
Je sais que ce n’est pas simple, parce que ton cerveau ne cesse de tourner, les pensées négatives reviennent souvent quand tu t’y attends le moins. Mais lâcher prise, c’est justement apprendre à ne plus te laisser envahir par ce flot incessant de doutes et de “et si”. Ce n’est pas couper avec la réalité, c’est plutôt s’autoriser à respirer, à poser ton esprit, à faire une pause dans cette course effrénée de la prise de décisions qui te fait perdre confiance en toi.
Tu ne peux pas vivre l’instant présent si tu es prisonnier de ta tête. Et c’est là que ça devient vital : lâcher prise, c’est enfin te reconnecter à ce qui compte vraiment, à ce que tu ressens, plutôt qu’à ce que ton mental veut te faire croire.

C’est s’ouvrir à l’idée que passer à l’action, même avec des doutes, vaut mieux que rester figé dans le “je réfléchis trop”.
Tu as peut-être peur de faire une erreur, ou d’avoir à gérer les conséquences de tes choix. C’est normal. Mais justement, en lâchant prise, tu dépasses ces doutes. Tu réalises que tu n’as pas besoin de tout contrôler pour avancer. Tu reprends confiance en toi en acceptant que tu peux apprendre de chaque pas, même si ce n’est pas parfait.
Et puis, lâcher prise, c’est aussi une manière concrète d’éviter le burn out. Parce que ta charge mentale, cette fatigue mentale, elle ne disparaît pas en faisant semblant de tout maîtriser. Elle s’allège quand tu apprends à t’écouter, à arrêter de penser à tout en même temps. Tu poses ton cerveau, tu acceptes que ce n’est pas grave de ne pas tout savoir ni tout décider sur-le-champ.
Alors, à toi qui lis ces lignes, essaie de voir le lâcher prise comme un souffle, un espace entre tes pensées, un moment pour toi, un vrai cadeau que tu te fais. Ce n’est pas un signe de faiblesse, mais un acte d’amour envers toi-même. Et à travers ce geste, tu t’ouvres enfin à la vie, à l’action, à la vraie liberté.
Comme Laurence Blanchard, qui a choisi de ne pas s’enfermer dans la rumination et la paralysie du mental, mais de vivre l’instant présent, de passer à l’action, même quand ça fait peur. Son parcours montre que c’est possible, que ça change tout.
Alors, lâcher prise, ce n’est pas abandonner, c’est respirer, vivre, avancer, avec confiance, en dépassant ses doutes, et en évitant de laisser le burn out prendre le dessus. Tu peux le faire.
Apprendre à vivre l’instant présent pour calmer le mental

Tu sais, trop réfléchir, ça nous bouffe l’énergie, ça épuise notre cerveau. La charge mentale devient lourde, la fatigue mentale s’installe, et au final, tu te retrouves coincé dans un cercle où les pensées négatives prennent le dessus. C’est comme si ton cerveau tournait en boucle sans jamais pouvoir s’arrêter. Pourtant, il y a une façon simple, même si pas toujours évidente, de casser ce cycle : c’est d’apprendre à vivre l’instant présent.
C’est un conseil qu’on entend souvent, mais qui demande vraiment un travail sur soi. Pour moi, ça a été un vrai défi, parce que j’ai toujours eu tendance à trop réfléchir, à analyser chaque détail, à essayer de tout contrôler. Mais avec le temps, j’ai compris que c’était justement cette obsession de la réflexion qui faisait que je n’avançais pas. Je ne voulais pas rester prisonnier de cette charge mentale qui finit par générer une vraie fatigue mentale.
C’est là qu’intervient le lâcher prise. Ce n’est pas abandonner ou se résigner, loin de là. C’est au contraire une manière de s’autoriser à arrêter de penser tout le temps, à se défaire du poids des pensées négatives, et à enfin poser ton cerveau. Quand tu lâches prise, tu donnes un espace à ton esprit pour respirer, pour exister hors de cette machine à trop réfléchir. Tu retrouves cette capacité à passer à l’action sans que le mental t’empêche de bouger.
Je te le dis parce que c’est ce que j’ai vécu, en suivant un chemin un peu comme celui de Laurence Blanchard, qui a elle aussi fait le choix de ne pas rester bloquée dans le trop penser. Elle a tout quitté, elle est partie, elle a décidé de vivre pleinement, et dans cette démarche, elle a appris à prendre des décisions sans se laisser paralyser par le doute. C’est ça qui l’a aidée à dépasser ses doutes et à ne pas tomber dans la spirale qui mène au burn out.
Toi aussi, tu peux retrouver cette force. Pour cela, tu dois t’exercer à vraiment vivre l’instant présent : ça peut commencer par des petites choses, comme observer ce qui t’entoure, écouter les sons autour de toi, sentir ta respiration, sentir ton corps. Ça paraît simple, mais c’est un exercice puissant qui peut grandement aider à réduire cette sensation de surcharge mentale.
Quand tu arrives à calmer ton mental, tu fais aussi un pas important vers la confiance en soi. Parce qu’arrêter de trop réfléchir, ce n’est pas être faible, au contraire. C’est accepter que tu ne peux pas tout contrôler, et que parfois, il faut juste se faire confiance pour avancer, même avec quelques zones d’ombre.
Enfin, apprendre à vivre le moment présent t’aide à vraiment éviter le burn out. Parce que le burn out, c’est souvent le résultat d’une charge mentale trop lourde, d’une fatigue mentale accumulée et jamais apaisée. En cultivant cette capacité à poser ton cerveau, à lâcher prise, tu te donnes une vraie chance d’avoir une vie plus légère, plus libre, où tu n’es plus prisonnier des tourments du mental.
Alors oui, ce n’est pas simple, et ça demande de la patience. Mais c’est une des meilleures décisions que tu puisses prendre pour toi : apprendre à vivre l’instant présent, arrêter de trop réfléchir, dépasser tes doutes, et surtout, passer à l’action avec confiance. Parce qu’au fond, la vie ne t’attend pas, elle se vit maintenant, ici, à cet instant même.
L’art de poser son cerveau quand tout va trop vite
Tu le sais, il y a des jours où ton cerveau tourne à 2000 à l’heure. Où tout va trop vite, à l’intérieur comme à l’extérieur. Tu penses, tu analyses, tu anticipes, tu doutes. Et puis tu recommences. Ça ne s’arrête jamais. C’est le piège de trop réfléchir, et plus tu y tombes, plus tu perds le lien avec ce qui t’entoure.
Mais poser son cerveau, ce n’est pas devenir passif ou inconscient. C’est au contraire un acte de puissance, un choix lucide : celui de lâcher prise. Parce qu’à force de vouloir tout contrôler, tu finis par t’épuiser mentalement. Et cette fatigue mentale, même si elle ne se voit pas, est sournoise : elle t’empêche de vivre l’instant présent, de savourer ce qui est là, maintenant.
Laurence Blanchard, elle, a compris une chose essentielle : penser trop, c’est parfois ce qui te sépare de ta propre vie. Elle le dit sans détour : "je n’aime pas penser, ça me fatigue". Et elle a raison. Parce que trop penser, ce n’est pas réfléchir intelligemment. C’est ruminer, c’est tourner en boucle dans des pensées négatives qui nourrissent tes peurs, tes regrets, tes blocages.
Et ce mental en surcharge, cette charge mentale, elle peut t’emmener droit dans le mur si tu ne fais rien. À force, tu risques même le burn out. Tu sais, ce moment où tu n’arrives plus à avancer, même pour les choses les plus simples. Alors, tu te figes. Tu n’arrives plus à prendre des décisions. Tu doutes. Tu te perds.
Mais tu n’es pas obligé de subir ça.
Tu peux dépasser tes doutes. Et tu n’as pas besoin d’avoir une solution parfaite pour commencer. Ce qu’il te faut, c’est passer à l’action, même toute petite. Une seule action, un seul mouvement qui t’aide à arrêter de penser, juste pour un instant. Pour retrouver ton souffle. Pour te reconnecter à toi.
Parce qu’au fond, c’est là que commence la vraie confiance en soi. Pas dans le fait de tout maîtriser. Mais dans le fait de te dire : "je ne sais pas exactement où je vais, mais j’y vais quand même." Et si tu veux que ta vie change, que ton énergie revienne, tu vas devoir apprendre ça : vivre l’instant présent, poser ton cerveau, ne plus le laisser dicter ta vie.
C’est ce que Laurence Blanchard applique au quotidien. Elle bouge, elle change, elle fonce. Elle ne s’encombre pas de "et si" ou de "peut-être que". Parce qu’elle sait que le pire des regrets, c’est celui d’avoir trop pensé… et pas assez vécu.
Alors pose ton cerveau. Même cinq minutes. Respire. Et choisis de vivre, vraiment.
Passer à l’action sans trop réfléchir : comment on fait vraiment ?
Tu l’as sûrement déjà vécu : tu tournes une idée dans ta tête pendant des jours, tu imagines tous les scénarios possibles, tu veux être sûr·e de prendre la “bonne” décision… et au final, tu ne fais rien. Parce que trop réfléchir, c’est parfois ce qui t’empêche le plus d’avancer.
On croit souvent qu’il faut attendre le bon moment, le bon feeling, le bon contexte. Mais la vérité, c’est qu’il n’y a jamais de moment parfait. Passer à l’action, c’est accepter de ne pas tout maîtriser. C’est oser sans garantie. Et pourtant, c’est exactement ça qui te libère.
Laurence Blanchard, par exemple, est de ceux qui ont appris à faire confiance à l’élan.

Elle ne laisse pas la charge mentale ou la fatigue mentale la freiner. Au contraire, elle avance, même quand tout n’est pas clair. Pourquoi ? Parce qu’elle sait qu’à force de tout mentaliser, on finit par s’épuiser. Elle préfère lâcher prise, décider, et agir.
Et si tu t’autorisais ça, toi aussi ? Agir sans t’excuser. Te mettre en mouvement, même sans tout comprendre. C’est en bougeant que les réponses viennent. Et surtout, c’est en agissant que tu retrouves de l’énergie, que tu vis l’instant présent, au lieu de rester prisonnier·ère de ta tête.
Tu sais, arrêter de penser ce n’est pas être irresponsable. C’est parfois la seule manière de sortir d’un cercle infernal de pensées négatives et de doutes. Parce que oui, dépasser ses doutes, ça ne se fait pas dans un fauteuil, en attendant que l’inspiration tombe du ciel. Ça se fait dans le mouvement. Dans l’audace.
Souvent, quand tu repousses une décision, ce n’est pas parce qu’elle est mauvaise. C’est juste parce que tu as peur. Peur de te tromper. Peur du regard des autres. Peur de perdre ce que tu connais. Mais si tu n’avances pas, tu t’éteins à petit feu. Et à force de retenir ce que tu es, tu risques de t’abîmer. C’est comme ça que certains glissent doucement vers un burn out, sans avoir rien vu venir.
Éviter le burn out, c’est parfois simplement s’autoriser à vivre. À prendre des risques. À s’écouter vraiment. C’est apprendre à faire confiance à ton instinct. Et petit à petit, c’est comme ça que tu retrouves ta puissance intérieure. Que tu reconstruis ta confiance en toi.
Alors, oui, tu vas parfois hésiter. Tu vas faire des erreurs. Mais entre l’immobilité et l’imperfection, choisis toujours l’imperfection. Parce qu’en bougeant, tu vis. Et tu vis sans regret.
C’est ça le choix de Laurence. Ne pas rester en place. Déménager quand il le faut. Tout quitter si nécessaire. Mais ne pas s’ennuyer. Ne pas laisser la peur ou le mental prendre trop de place. Elle le dit elle-même : “J’aime pas réfléchir. J’aime pas penser. Je fonce.” Et c’est peut-être ce que tu devrais essayer aussi. Pas pour lui ressembler. Mais pour redevenir toi.
Arrêter de penser, ce n’est pas foncer tête baissée, c’est oser

Arrêter de penser, ce n’est pas faire n’importe quoi. Ce n’est pas tout envoyer balader sans réfléchir aux conséquences. Mais trop réfléchir, ça t’enferme. Ça te fige. Et souvent, tu le sais, ça t’épuise. Tu veux prendre des décisions, avancer, créer quelque chose de nouveau dans ta vie ? Alors, il va falloir apprendre à faire de la place dans ta tête. Il va falloir poser ton cerveau, non pas pour tout abandonner, mais pour oser passer à l’action sans attendre que toutes les conditions soient parfaites.
Parce que la vérité, c’est que les conditions parfaites, elles n’existent pas.
Quand tu passes ton temps à peser le pour et le contre, à imaginer le pire, à ruminer ce que tu aurais pu dire ou faire, ce n’est pas que tu es incapable — c’est juste que tu es coincé dans une forme de charge mentale.
Un trop-plein de pensée, de scénarios, de doutes. Et ce trop-plein crée une fatigue mentale profonde. Tu te lèves fatigué, tu réfléchis trop, tu ressasses, et tu finis par perdre ta confiance en toi.
Laurence Blanchard, elle, a fait un autre choix. Elle ne supportait plus de tourner en rond. Elle a compris que pour éviter le burn out, il fallait sortir du mental. Elle l’a fait en bougeant, en déménageant, en changeant d’air. Mais surtout, en refusant de se laisser polluer par des pensées négatives. Elle a choisi de vivre l’instant présent plutôt que de s’enfermer dans le doute. Elle a choisi d’arrêter de penser… pour mieux ressentir.
Et toi ? Qu’est-ce qui t’empêche d’avancer aujourd’hui ? Est-ce que tu ne serais pas, toi aussi, en train d’attendre la certitude, l’approbation des autres, la bonne réponse, le bon moment ? Alors qu’en réalité, il suffit de dépasser ses doutes, de se dire "je n’ai pas toutes les réponses, mais j’y vais". Parce que passer à l’action, ce n’est pas se jeter dans le vide les yeux fermés, c’est simplement accepter qu’on ne contrôlera jamais tout — et que c’est OK.
Lâcher prise, ce n’est pas renoncer. C’est arrêter de vouloir tout maîtriser. C’est respirer. Avancer. Faire un pas. Puis un autre. Et c’est ainsi que tu vas retrouver ta liberté, une vraie liberté intérieure. Celle de ne plus être prisonnier de ton propre mental. Celle de ne plus avoir peur de te tromper. Celle de prendre des décisions pour toi, en accord avec ce que tu veux vraiment.
Alors arrête de tourner en rond. Tu sais déjà ce que tu veux. Il est temps maintenant d’oser.
Dépasser ses doutes en bougeant d’abord, en comprenant ensuite
Tu connais ce moment où trop réfléchir t'empêche d'avancer ? Tu passes des heures à tourner un problème dans ta tête, à peser le pour et le contre, à imaginer tous les scénarios possibles. Résultat : tu n’agis pas, tu restes bloqué. Cette charge mentale t’épuise, cette fatigue mentale s’installe. Et ce qui devait être une simple décision devient une montagne impossible à franchir. C’est là que tout commence à glisser : les pensées négatives prennent de la place, tu remets tout en question, tu perds peu à peu la confiance en toi.
Mais si tu inversais le mécanisme ? Si tu bougeais d’abord… et que tu comprenais ensuite ?
C’est ce que fait Laurence Blanchard. Elle ne reste jamais immobile, ni dans sa tête, ni dans sa vie. Elle passe à l’action, même quand tout n’est pas clair. Elle a compris que pour dépasser ses doutes, il faut arrêter d’attendre la certitude. Il faut arrêter de penser sans fin. Parce qu’à force d’attendre “le bon moment”, on s’épuise. Et souvent, on ne le trouve jamais.
Quand tu passes à l’action, tu reprends le pouvoir. Tu retrouves le mouvement, l’élan, la direction. C’est là que les blocages mentaux commencent à se dissiper. Ce n’est pas magique, non. Mais c’est concret. Et quand tu agis, tu vis l’instant présent au lieu de te perdre dans mille projections mentales.
Bien sûr, tu auras toujours des doutes. Mais si tu bouges, si tu testes, tu apprendras en avançant. Et tu feras ce que les autres n’osent pas faire : prendre des décisions, même imparfaites, mais réelles. C’est ça aussi, le lâcher prise : accepter de ne pas tout contrôler. Et c’est ainsi que tu peux éviter le burn out, en mettant de l’action là où ton cerveau voulait encore ruminer.
Le cerveau adore t’embrouiller. Il te fait croire que réfléchir, c’est avancer. Mais souvent, trop réfléchir, c’est juste rester bloqué. Laurence, elle, le dit clairement : “Moi, j’aime pas réfléchir, j’aime pas penser. Je fonce.” Et si tu faisais comme elle ? Si tu osais poser ton cerveau, juste un peu, pour vivre vraiment ?
Tu n’as pas besoin de tout comprendre pour commencer. Tu as juste besoin de te mettre en mouvement. Le reste viendra. Toujours.
Comment prendre des décisions quand on a peur de se tromper ?
Prendre des décisions quand tu es envahi par le doute, c’est souvent un enfer mental. Tu tournes en boucle, tu analyses chaque scénario, tu ressasses les conséquences possibles. Résultat ? Tu bloques. Tu n’arrives plus à passer à l’action, parce que tu as peur de te tromper. Tu es figé, paralysé par l’idée de faire le mauvais choix. Tu es en plein dans ce qu’on appelle trop réfléchir.
Et le problème, c’est que ce trop réfléchir devient rapidement une charge mentale énorme. Ton cerveau ne s’arrête jamais. Tu penses le jour, tu penses la nuit. Ça t’épuise. Tu n’as plus de clarté. Cette fatigue mentale, si tu la laisses s’installer, elle peut t’emmener droit vers ce que beaucoup redoutent : le burn out.
Alors comment on fait pour en sortir ? Comment tu peux arrêter de penser et prendre une décision avec plus de légèreté, sans tout remettre en question ? La réponse n’est pas dans une solution magique. Elle est dans un choix : celui de lâcher prise.

Lâcher prise, ça ne veut pas dire devenir irresponsable. Ça veut dire accepter que tu ne contrôles pas tout. Ça veut dire faire confiance. Confiance en toi, en la vie, en ton instinct. Parce que si tu continues à laisser les pensées négatives guider tes choix, tu ne décideras plus rien. Tu subiras. Et quand tu subis, tu t’éloignes de ta propre boussole.
Laurence Blanchard, elle le dit souvent : « Penser trop, ça m’épuise. Moi je bouge. Je fonce. » Et ce n’est pas de l’inconscience, c’est une philosophie. Elle a compris que pour vivre l’instant présent, il faut dépasser ses doutes, il faut oser sans avoir toutes les réponses à l’avance.
Oui, tu peux avoir peur. Oui, tu peux hésiter. Mais tu peux choisir quand même. Tu peux t’écouter, sentir ce qui résonne juste en toi et te lancer. Parce que plus tu hésites, plus tu doutes, plus tu perds confiance. Et cette confiance en soi, c’est ce qui fait la différence entre ceux qui agissent… et ceux qui restent bloqués dans leurs pensées.
Alors pose-toi une vraie question : est-ce que tu veux passer ta vie à réfléchir à la bonne décision, ou est-ce que tu veux avancer, quitte à ajuster en route ? Le courage, ce n’est pas de ne jamais douter. C’est de choisir malgré le doute. C’est ça, vivre pleinement, éviter le burn out, et ne pas avoir de regret.
Arrête de croire qu’il y a une seule bonne décision. Il y a celle que tu fais vivre. Et tu verras, une fois que tu l’auras prise, que tu seras en mouvement, ton mental se posera. Tu n’auras plus besoin de penser autant. Tu sentiras que tu peux arrêter de penser, simplement parce que tu es déjà en train de vivre.
C’est ça, la clé pour prendre une décision quand tu as peur. C’est décider de vivre, plutôt que de réfléchir.
Reprendre confiance en soi pour ne plus laisser le mental tout diriger
Tu le sais : quand tu te mets à trop réfléchir, ton énergie part dans tous les sens. Tu pèses le pour, le contre, tu revis les scènes passées, tu anticipes les pires scénarios… et au final tu restes immobile. Prendre des décisions devient une épreuve, comme si ton cerveau était une salle d’attente sans fin. Et c’est là que la charge mentale s’installe doucement. Elle n’arrive pas en courant, elle s’infiltre. Un peu de stress ici, une hésitation là, et un jour tu te rends compte que tu ne dors plus, que tu es épuisé pour des choses simples. Ce que tu vis, c’est peut-être déjà le début de la fatigue mentale.
Tu veux arrêter de penser tout le temps, mais tu ne sais pas comment. Tu sens que tu es pris dans tes pensées négatives, comme si tu regardais un film angoissant en boucle, sans pouvoir appuyer sur "pause". C’est là qu’il faut oser un vrai choix : celui du lâcher prise. Ce n’est pas fuir. Ce n’est pas "laisser tomber". C’est te dire : « j’ai le droit d’appuyer sur le bouton stop ». Parce qu’à force d’attendre le bon moment, tu risques de ne jamais passer à l’action. Et plus tu attends, plus tu perds en confiance en toi.
C’est ce que Laurence Blanchard répète souvent : « le pire, ce n’est pas de foncer et de se planter, c’est de rester là à réfléchir sans jamais bouger. » Elle, elle a choisi une autre voie. Elle a quitté, déménagé, recommencé. Plusieurs fois. Et pas parce que c’était simple. Mais parce que vivre l’instant présent valait toujours plus que de s’enfermer dans la peur de l’avenir. Elle déteste le mot "ennui", elle dit qu’elle ne sait pas "rester en place". Et c’est ça sa force. Elle agit, même quand les autres lui disent : "tu devrais réfléchir". Elle répond souvent : "désolée, je n'arrive pas à penser, ça me fatigue". Et c’est peut-être ça la vraie sagesse.
Toi aussi, tu peux dépasser tes doutes. Tu peux retrouver de la clarté dans ta tête, du calme dans ton corps. Et ça commence par un choix : celui de te faire confiance, de ne plus toujours croire cette petite voix qui te dit que tu vas échouer. Parce que c’est aussi ça éviter le burn out : écouter ce que tu ressens, avant que ton mental prenne toute la place.
Tu ne peux pas tout contrôler. Et c’est tant mieux. Tu peux en revanche choisir ce qui t’anime. Alors si tu veux vraiment reprendre confiance en toi, il va falloir oser. Te mettre en mouvement. Accepter que penser moins, ce n’est pas être moins intelligent, c’est être plus vivant.
Et surtout, ne laisse plus ton cerveau te voler tes élans. Parce qu’à force de vouloir tout prévoir, tu passes à côté de ta vie.
Fatigue mentale et confiance en soi : le lien qu’on sous-estime

Tu le sais peut-être, mais trop réfléchir en permanence peut devenir une vraie prison mentale. Tu tournes en boucle, tu anticipes tout, tu veux tout contrôler… et au bout du compte, tu t’épuises. Cette fatigue mentale, elle ne se voit pas toujours, mais elle pèse lourd. Elle te vole ton énergie, elle t’empêche de passer à l’action, elle te déconnecte de toi. Et c’est là que le lien avec la confiance en soi devient évident : quand ton cerveau est en surcharge, il te fait douter de tout — surtout de toi-même.
Laurence Blanchard en parle souvent dans ses accompagnements : quand tu veux retrouver de la légèreté, le premier pas, ce n’est pas de « penser mieux », c’est d’arrêter de penser tout court. C’est de faire de la place dans ta tête, de sortir du piège de la charge mentale permanente. Parce qu’un cerveau trop plein, c’est un corps qui s’essouffle, un cœur qui s’éteint, et une estime de soi qui fond petit à petit. Le problème, ce n’est pas que tu sois incapable, c’est que tu es trop fatigué mentalement pour le voir.
Tu crois que tu dois prendre des décisions parfaites ? Tu crois qu’il faut tout analyser avant de bouger ? Et si c’était l’inverse ? Si le vrai courage, c’était de bouger d’abord, et de comprendre ensuite ? Dépasser ses doutes, c’est souvent simplement vivre l’instant présent et oser avancer, même quand tu n’as pas toutes les réponses.
Lâcher prise, ça ne veut pas dire laisser tomber. Ça veut dire : respirer, faire une pause, et laisser ton cerveau tranquille. C’est t’autoriser à faire des erreurs sans te juger. C’est aussi choisir, à certains moments, de ne pas réfléchir, et simplement de faire. Agir sans trop anticiper, sans chercher la perfection. Juste avancer. Parce que c’est en avançant que tu retrouves ta confiance en toi, pas en réfléchissant encore plus.
Et tu sais quoi ? C’est souvent quand tu t’autorises à vivre, à expérimenter, à faire des choses un peu folles, que tu retrouves ta vraie puissance. Quand tu n’as plus peur de tout quitter, de changer de ville, de projet, de routine. C’est ce que Laurence Blanchard a choisi : sortir du cadre, bouger souvent, et écouter ce qui l’anime au fond. Elle déteste s’ennuyer, elle le dit sans détour : “j’aime pas penser, j’aime vivre”.
Alors si tu veux éviter le burn out, si tu veux retrouver de la clarté, pose-toi cette seule question : est-ce que je suis encore vivant dans ce que je fais, ou est-ce que je suis juste en train de réfléchir ma vie au lieu de la vivre ? Parce qu’à force de trop penser, on oublie d’avancer. Et surtout, on oublie d’être heureux.
Éviter le burn out en écoutant le corps avant que le cerveau lâche
Tu sais, trop réfléchir, ce n’est pas une qualité. C’est souvent une alerte. Une alerte que ton corps t’envoie, quand ton cerveau tourne en boucle, que les pensées négatives prennent le dessus, et que tu perds ta confiance en toi à force de tout analyser. Ça commence souvent par une petite charge mentale qu’on croit normale. Tu te dis que c’est passager, que tu gères. Et puis ça monte. Tu dors mal, tu te sens épuisé sans raison, tu procrastines, tu n’arrives plus à prendre des décisions simples.
C’est exactement à ce moment-là qu’il faut appuyer sur pause. Apprendre à lâcher prise, ce n’est pas une faiblesse. C’est une force. Parce que ton mental, s’il est en surcharge, finit par t’emmener droit dans le mur. Tu ne t’en rends pas compte, mais tu n’es plus dans le présent.

Tu es bloqué dans tes ruminations, dans tes “et si…”, dans cette peur constante de dépasser tes doutes. Tu veux tout contrôler, tout prévoir, mais la seule chose que tu fuis, c’est l’instant que tu vis là, maintenant.
Vivre l’instant présent, c’est arrêter de se demander si tu fais bien, si c’est le bon choix. C’est passer à l’action, même imparfaitement, même sans garantie. C’est arrêter de penser comme si ta vie dépendait de la moindre décision. Et si tu veux éviter le burn out, il va falloir remettre du mouvement. Pas forcément déménager tous les six mois ou changer de boulot, mais oser sortir de l’inertie mentale. Parce que rester bloqué, c’est ce qui t’épuise le plus.
Moi, j’ai vu Laurence Blanchard le faire. Et ça m’a marqué. Elle dit souvent qu’elle n’aime pas penser. Pas parce qu’elle s’en fiche. Mais parce que penser trop, chez elle, c’est comme une alarme : ça l’épuise, ça la coupe de la vie. Alors elle agit. Elle bouge. Elle passe à l’action sans attendre que tout soit aligné. Elle quitte, elle recommence, elle vit. Et surtout, elle ne reste pas en place. C’est sa manière à elle de rester vivante, de vivre l’instant présent sans attendre que les conditions soient parfaites.
Si tu sens que tu es fatigué mentalement, que tu commences à douter de toi, que tu n’arrives plus à prendre des décisions simples, pose-toi une vraie question : est-ce que tu veux vraiment continuer comme ça ? Ou est-ce qu’il est temps d’apprendre à lâcher prise, à arrêter de trop réfléchir, à écouter ton corps, et surtout, à retrouver confiance en toi ?
Parce que oui, tu peux éviter le burn out. Mais pour ça, il va falloir oser faire ce que beaucoup n’osent pas : dépasser tes doutes, arrêter de penser, et commencer à vivre pleinement. Et crois-moi, c’est une libération.
Se reconnecter à soi, et plus seulement à ses pensées
Tu sais ce qui te fatigue le plus ? Ce n’est pas ce que tu fais dans ta journée. Ce qui t’épuise vraiment, c’est de trop réfléchir.
Ton cerveau tourne en boucle. Tu refais les dialogues, tu imagines les pires scénarios, tu prépares des plans B, C, D... Et tu t’étonnes d’avoir cette fatigue mentale qui colle à la peau. Tu n’as rien soulevé de physique, mais à la fin de la journée tu es vidé. C’est ça, la charge mentale invisible mais bien réelle.
Alors comment on fait pour sortir de là ? Comment tu peux arrêter de penser en boucle, te reconnecter à ton corps, à tes sensations, à ce que tu ressens vraiment – et pas seulement à ce que tu penses ressentir ?
Ça commence par lâcher prise. Pas pour fuir. Pas pour tout lâcher. Mais pour respirer. T'offrir un espace dans lequel tu n’es pas juste une tête qui mouline, mais une personne qui ressent, qui agit, qui vit.
Vivre l’instant présent, ce n’est pas un concept pour les yogis perchés. C’est une discipline. C’est ce que fait Laurence Blanchard, chaque fois qu’elle choisit de foncer sans trop se poser de questions. Elle le dit clairement : “Je n’aime pas réfléchir, je n’aime pas penser, je fonce.” Ce n’est pas de l’inconscience, c’est de la clarté. Elle a compris que pour passer à l’action, il fallait parfois justement arrêter de tout vouloir maîtriser.
Et toi, tu peux faire pareil. Prendre des décisions, même petites, même imparfaites, c’est déjà commencer à sortir du brouillard. C’est te prouver que tu peux avancer sans avoir toutes les réponses. Et c’est ça qui redonne confiance en soi.
Quand tu te reconnectes à ce que tu veux, à ce qui te fait vibrer, à ce qui t’excite (ou t’angoisse mais que tu sais nécessaire), tu commences à dépasser tes doutes. Pas en les supprimant. En les traversant. Et chaque petit pas que tu poses dans cette direction est une manière d’éviter le burn out. Parce que tu ne subis plus ta tête : tu avances avec ton cœur.
Les pensées négatives, elles ne disparaîtront jamais complètement. Mais elles prennent moins de place quand tu fais ce que tu sens juste pour toi. Le mental ralentit quand le corps prend le relais. Alors bouge, change, teste, exprime, déménage s’il faut – comme l’a fait Laurence, encore et encore – mais surtout, ne reste pas figé dans ta tête.
Tu es plus que tes pensées. Tu es aussi ce que tu choisis de faire avec elles.
Laurence Blanchard : quand vivre l’instant présent devient un style de vie

Tu connais sûrement ce moment où ton cerveau tourne en boucle, où tu te retrouves à trop réfléchir, à ruminer sans cesse, à te laisser submerger par une charge mentale qui ne te lâche plus. Cette fatigue mentale, tu la ressens profondément, elle t’épuise, elle te freine. C’est là que le parcours de Laurence Blanchard peut vraiment te parler. Parce que Laurence, elle n’est pas du genre à rester enfermée dans ses pensées. Elle a compris que pour avancer, il faut parfois savoir lâcher prise.
Vivre l’instant présent, ce n’est pas juste un concept abstrait, c’est un choix.
Un style de vie qu’elle a adopté, presque instinctivement. Laurence ne se laisse plus piéger par ces pensées négatives qui peuvent te faire douter, qui t’empêchent de passer à l’action. Elle a su dire stop à ce flot incessant de réflexions inutiles qui alourdissent la tête. En arrêtant de trop réfléchir, elle a trouvé cette liberté mentale que beaucoup cherchent, mais que peu savent vraiment atteindre.
Le secret, c’est de savoir arrêter de penser quand il le faut. Ce n’est pas ignorer la réalité ou fuir les décisions, au contraire. Laurence a appris à prendre des décisions avec confiance, en se fiant à son instinct plutôt qu’à la peur de l’erreur. Cette confiance en soi, elle l’a bâtie jour après jour en apprenant à dépasser ses doutes, à ne pas s’attarder sur chaque « et si ». Elle sait qu’attendre que tout soit parfait dans sa tête avant d’agir, c’est se condamner à l’inaction.
Et c’est là que tu vois l’importance de ce style de vie pour éviter le burn out. Trop réfléchir, ça use. Ça t’emmène vers un épuisement mental dont tu as du mal à te relever. Laurence a choisi de ne plus nourrir cette fatigue mentale chronique, en faisant le pari de l’action simple, de l’instant vécu pleinement. Chaque jour, elle s’entraîne à poser son cerveau, à respirer, à laisser son mental se reposer. Ce n’est pas toujours facile, mais elle sait que c’est vital.
Tu vois, pour elle, vivre l’instant présent ne veut pas dire qu’elle ignore ses projets ou ses ambitions. C’est au contraire la force qui lui permet de garder la tête claire et le cœur léger, même quand il faut tout quitter et repartir à zéro. Elle a déménagé plusieurs fois, parfois sur un coup de tête, parce que rester en place, c’est pour elle rester inactive. Et rester inactive, c’est l’assurance de voir le bonheur s’éloigner.
Alors oui, Laurence Blanchard t’invite à te libérer de cette prison qu’est le trop-penser. À comprendre que la clé, c’est d’apprendre à poser ton cerveau quand il veut trop s’emballer. À cultiver cette confiance en toi qui te pousse à passer à l’action, à oser prendre des décisions même quand elles font un peu peur. Parce qu’au final, vivre sans regret, c’est ça : savoir dire stop aux pensées négatives, lâcher prise sur ce qui ne sert à rien, et choisir de vivre l’instant présent.
Tu n’es pas obligé de suivre exactement son chemin, mais tu peux t’inspirer de cette énergie-là pour éviter de te noyer dans ta charge mentale et ta fatigue mentale. Pour arrêter de trop réfléchir, il faut parfois accepter que ce n’est pas la réflexion qui va tout régler, mais bien l’action, le fait de se lancer malgré les doutes. C’est ainsi que tu vas pouvoir, comme Laurence, dépasser tes doutes, retrouver confiance en toi et éviter ce burn out qui guette quand on s’écoute pas assez.
Alors, est-ce que tu es prêt à poser ton cerveau, arrêter de penser trop fort et enfin oser foncer ? Laurence te montre la voie, il ne tient qu’à toi de la suivre.