Cyril Blanchard
Mentaliste et Coach de vie

Comment se relever après un burn out sportif ?


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Le burn out sportif : quand la ligne d’arrivée devient le début du vide

Tu t’es donné corps et âme pour atteindre ton objectif. Tu as sacrifié tes week-ends, tes soirées, parfois même ton équilibre de vie. Et un jour, tu franchis cette ligne d’arrivée. Tu as réussi. Tu as brillé. Mais très vite, quelque chose se brise à l’intérieur. Le silence après le vacarme. Le vide après l’exploit. C’est ça, le burn out sportif.

Ce moment où tu devrais savourer ta victoire… mais où, au lieu de ça, tu t’enfonces lentement. Fatigue mentale, manque de sens, perte d’envie. Tu ne veux plus te lever, tu ne veux plus courir, tu ne sais même plus pourquoi tu as commencé. La dépression après compétition, elle est réelle. Et elle touche plus de monde qu’on ne le pense.

C’est exactement ce qu’a vécu Matthis Granet après sa victoire à l’Ultra Maxirace en 2021. Un sommet pour beaucoup. Un tournant sombre pour lui. Plus d’emploi, plus d’envie, plus de goût à rien. Une sorte de surmenage sportif prolongé, invisible, mais bien réel. Six mois à chercher un sens, à survivre à l’absence d’objectif. Une récupération mentale lente, presque douloureuse, mais essentielle.

Si tu es dans cette spirale, sache que tu n’es pas seul. Et surtout, ne minimise pas ce que tu ressens. Le burn out sportif, ce n’est pas juste “être fatigué”. C’est une alerte. Un signal de ton corps et de ton esprit. Et il est temps de l’écouter.

Tu veux t’en sortir ? Ça commence par une vraie récupération. Accepter que ton mental ait besoin de souffler. Que tu n’as pas à être fort tout le temps. C’est là que commence le travail de fond : gérer ses émotions, parler, écrire, s’entourer des bonnes personnes. Un coaching mental peut t’aider à y voir plus clair, à faire le tri, à accepter l’échec ou même la réussite, paradoxalement.

Tu ne retrouveras pas l’élan du jour au lendemain. La reprise du sport se fera doucement. À ton rythme. Sans chrono. Sans pression. Tu dois d’abord retrouver la motivation, dans des choses simples, parfois même hors du sport. Ta santé mentale est plus précieuse qu’un podium. C’est elle qui conditionne tout le reste.

Matthis Granet l’a compris. Il a transformé cette traversée du désert en un projet de cœur : “40 Ultras en 20 ans”, en hommage à sa maman disparue d’un cancer. Il court pour elle. Pour des associations. Pour donner du sens. Et petit à petit, il a recréé un cercle vertueux. Grâce à ses proches, à un coach, à une écoute sincère de ce qu’il ressent.

Tu veux vraiment sortir du trou ? Commence par ça : reconnecte-toi à ce qui t’anime. Fixe-toi un nouveau cap. Entoure-toi. Parle. Et surtout, ne cours plus contre toi-même.

Dépression après compétition : pourquoi tant de sportifs tombent après avoir tout donné ?

Ce qu'on ne dit pas assez, c’est qu’un burn out sportif ne te tombe pas dessus du jour au lendemain. Il peut s’installer en silence, après un grand moment de gloire. Et pourtant, il est bien là. Tu viens d'accomplir un exploit, tu es allé au bout de toi-même, tu as donné tout ce que tu avais… et soudain, plus rien. C’est le vide. La dépression après compétition est réelle, profonde, et souvent taboue.

Beaucoup pensent que le plus dur, c’est de réussir. Mais ce que vivent certains athlètes, c’est que le plus dur… c’est ce qui vient après. Ce moment où tu ne sais plus pourquoi tu te lèves le matin, où tu ressens une immense fatigue mentale, un surmenage sportif qui te laisse épuisé de l’intérieur. C’est ce que Matthis Granet, ultra-traileur accompli, a vécu après sa victoire à l’Ultra Maxirace en 2021. Il pensait toucher le sommet, et c’est là que tout a basculé. Il a perdu le goût, la motivation, le sens. Il était en plein burn out sportif.

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Quand ton corps te dit "stop" mais que ton esprit refuse de ralentir, c’est là que tu bascules. Tu t’accroches, tu essaies de gérer tes émotions, de comprendre ce qu’il se passe. Mais parfois, ce n’est pas suffisant. Ce qu’il faut, c’est enclencher une vraie récupération mentale, accepter que tu es humain, que tu ne peux pas toujours être en haut. Accepter l’échec, ce n’est pas renoncer : c’est faire preuve d’intelligence et de respect envers toi-même.

Tu veux retrouver la motivation ? Commence par t'entourer. Reconnecte-toi à un cercle d’amis, à des personnes qui ne te jugent pas, qui sont là pour toi. Appuie-toi sur un coaching mental bienveillant. Écris. Parle. Verbalise ce que tu ressens. C’est comme ça que tu vas pouvoir amorcer une vraie récupération, retrouver du plaisir et reconstruire quelque chose de solide. Ta santé mentale est une priorité, pas un détail.

Matthis Granet, lui, a transformé son épreuve. Il a construit son projet « 40 ultras en 20 ans » en hommage à sa mère disparue d’un cancer, pour donner du sens à sa pratique, pour soutenir des associations. Il a compris qu’une vraie reprise du sport, saine et durable, ne pouvait se faire qu’en se reconstruisant de l’intérieur. Il a créé son propre cercle vertueux. Et toi, qu’est-ce qui pourrait te remettre en mouvement ?

Fatigue mentale, baisse de sens et surmenage sportif : un trio silencieux

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Tu peux tout réussir… et pourtant tomber. C’est ça le piège du burn out sportif : tu penses que c’est réservé à ceux qui échouent, alors que parfois, c’est justement après une victoire, une grande course, un défi extrême, que le vide s’installe. C’est ce que Matthis Granet a vécu après sa victoire à l’Ultra Maxirace. Il avait tout donné. Et quand l’euphorie est retombée, il ne restait plus rien. Juste une fatigue mentale, immense, et ce sentiment étouffant d’avoir perdu le goût de tout.

Ce moment de dépression après compétition, tu ne le vois pas venir. Tu continues de t’entraîner par automatisme, tu sors courir sans envie, tu ne regardes plus ton chrono. Et tu t’isoles, tu te coupes du monde, convaincu que ça finira par passer. Sauf que non. Parce que ce surmenage sportif est profond. Il ne se soigne pas avec une simple pause. Il demande une récupération mentale, lente, patiente, humaine.

La vérité, c’est que tu dois gérer tes émotions, et ça ne se fait pas tout seul. Le mental, c’est un muscle. Et parfois, il a besoin d’aide. D’un coaching mental, d’une personne extérieure, d’un cercle de proches capables de t’écouter sans te juger. Matthis, lui, a su s’appuyer sur ses amis, sur sa compagne, sur un projet plus grand que lui : courir 40 ultras en 20 ans en mémoire de sa mère disparue d’un cancer. Là, il a retrouvé la motivation. Il a trouvé du sens à sa pratique. Il s’est reconnecté à sa passion.

Tu vois, accepter l’échec, ou même accepter le vide après un exploit, ça fait partie du chemin. Revenir en arrière, reprendre le sport avec douceur, en se détachant de la performance pure, c’est souvent la clé. Tu n’as rien à prouver. Mais tu peux te reconstruire dans un cercle vertueux, à ton rythme, avec bienveillance. Et surtout, ne néglige jamais ta santé mentale. Elle vaut bien plus que ton chrono.

Reprendre pied après un burn out sportif : les premières étapes de la récupération mentale

Après un exploit sportif intense, il peut t’arriver de plonger dans un burn out sportif sans même t’en rendre compte. Tu as tout donné. Tu as atteint ton objectif. Et pourtant… un vide s’installe. C’est exactement ce qu’a vécu Matthis Granet après sa victoire à l’Ultra Maxirace 2021. Pendant des mois, il a senti cette fatigue mentale l’envahir, une perte de sens, une dépression après compétition. C’est une réalité dont on parle peu, mais que beaucoup traversent en silence.

La première chose à faire, c’est de l’accepter : oui, tu peux te sentir à bout, même après une réussite. Ce n’est pas un signe de faiblesse. C’est humain. Et c’est souvent lié à un surmenage sportif, à une pression mentale constante que tu as accumulée pendant des mois, voire des années.

Pour enclencher une vraie récupération mentale, tu dois commencer par gérer tes émotions. Pose-toi. Respire. Pleure s’il le faut. Et surtout, accepte l’échec… ou plutôt, accepte ce que tu ressens comme un échec alors que tu viens de réussir. Ce paradoxe, Matthis l’a vécu de plein fouet. C’est dans ces moments-là que tu as besoin de t’entourer. Reconnecte-toi à tes proches, à ton cercle d’amis. Ne t’isole pas. Tu n’es pas seul.

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Un autre pilier important dans cette reconstruction, c’est de faire appel à un coaching mental. Que ce soit un coach ou un thérapeute, parler à quelqu’un d’extérieur, qui comprend la santé mentale du sportif, peut changer ta trajectoire. Il ne s’agit pas de repartir tout de suite à l'entraînement, mais de faire un vrai travail intérieur, de mettre des mots sur ce que tu vis.

Petit à petit, tu pourras retrouver la motivation. Pas forcément pour battre un chrono ou gravir une nouvelle montagne. Mais pour remettre du sens dans ce que tu fais. Matthis Granet l’a fait avec son projet fou : “40 Ultras en 20 ans”, en hommage à sa maman, pour soutenir les associations de lutte contre le cancer. Il s’est recréé un cap. Une mission. Et c’est peut-être ça, la vraie reprise du sport : une activité physique qui t’aide à te reconstruire, pas à te fuir.

Tu vas voir, avec du temps, du soutien et de l'écoute, tu vas amorcer ta récupération. Tu vas retrouver la motivation et sortir de cette fatigue mentale. Et tu pourras enfin te dire que tu avances à nouveau, pas seulement pour performer, mais pour être bien, avec toi-même.

Santé mentale et sport : pourquoi il faut oser en parler ?

Tu sais, on parle souvent de performances, d’entraînements, de records à battre… mais rarement de ce qu’il se passe dans la tête après l’exploit. Et pourtant, c’est là que beaucoup de sportifs, même les plus aguerris, s’effondrent. Le burn out sportif, ce n'est pas un mythe. Ce n'est pas une faiblesse non plus. C’est une réalité que vivent de plus en plus d’athlètes, parfois dans le silence.

C’est ce qu’a vécu Matthis Granet après sa victoire à l’Ultra Maxi Race. Une réussite énorme, mais un énorme vide derrière. Plus de sens, plus d’envie. Il raconte avoir traversé une dépression après compétition, un moment où il avait "perdu le goût de tout". Le surmenage sportif n’était pas que physique. C’était surtout une fatigue mentale, insidieuse, profonde, qui le freinait même dans les gestes les plus simples du quotidien.

Et c’est là que commence le vrai combat : retrouver la motivation, recréer du lien, reconstruire. On n’en parle pas assez, mais la santé mentale dans le sport est essentielle. Il faut oser dire qu’on n’en peut plus, qu’on est au bout. Il faut oser gérer ses émotions, poser des mots sur ce qu’on vit, sans honte.

Heureusement, il y a des solutions. Pour Matthis, ça a commencé par recréer un cercle d’amis proches, s’entourer de personnes bienveillantes. Puis il a décidé d’agir : se lancer dans un projet fort de sens, 40 Ultras en 20 ans, en hommage à sa maman disparue, pour soutenir des associations. Ce projet l’a sorti du tunnel. Il a aussi été accompagné par un coaching mental, pour poser des mots, retrouver une boussole intérieure. Écrire, verbaliser, comprendre ce qui l’avait mené là.

Et surtout : accepter l’échec, accepter de ne pas toujours aller bien, de ne pas être au top tout le temps. La récupération mentale est un processus, lent, mais puissant. Tout comme la récupération physique, elle demande du temps, de l’attention. Et quand tu sens que tu reprends goût au sport, que la reprise du sport ne rime plus avec obligation, mais avec plaisir, tu sais que tu es sur la bonne voie.

Alors oui, on peut tomber. Mais surtout, on peut se relever. Et si t’es dans ce moment de doute, de flou, souviens-toi : tu n’es pas seul. Parle. Ose. C’est comme ça qu’on avance.

Gérer ses émotions sans culpabiliser : la clé d’une reprise du sport en douceur

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Quand tu sors d’un burn out sportif, il y a un truc que tu dois absolument t’autoriser : ressentir. La fatigue mentale, les montagnes russes émotionnelles, ce vide après la compétition, ce sentiment de ne plus savoir où tu vas… Tout ça est normal. Tu viens peut-être de vivre ton plus grand exploit sportif, comme Matthis Granet après sa victoire sur l’Ultra Maxirace. Et pourtant, ce moment que tu avais rêvé peut laisser place à une dépression après compétition.

Pourquoi ? Parce que ton corps et ton esprit ont tout donné. Parce que tu as touché ton objectif… et qu’après, il n’y avait plus rien de prévu. Le surmenage sportif, c’est pas seulement accumuler les séances d’entraînement. C’est aussi tout le mental que tu mets dans la bataille. C’est cette pression invisible qui finit par t’éloigner de l’essentiel : toi-même.

Et le plus dur dans tout ça, c’est que tu peux te culpabiliser de ne plus avoir envie. De ne plus avoir d’énergie. De te lever le matin sans savoir pourquoi. Alors que la vraie force, c’est justement d’accepter ce passage à vide. D’accepter l’échec, même quand il vient après une victoire. D’oser dire que ça ne va pas.

Ce qui peut vraiment changer la donne, c’est d’entrer dans une récupération mentale en profondeur. Tu n’as pas à faire ça seul. Parle. Écris. Trouve les mots. Un coaching mental adapté peut t’aider à poser les choses, à gérer tes émotions, à retrouver un cadre. Reconnecte-toi à ce qui te fait du bien. À tes proches. À tes sensations. C’est là que commence la vraie reprise du sport, celle qui est douce, durable et saine. Celle qui prend soin de ta santé mentale.

Tu veux retrouver la motivation ? Commence petit. Cours sans chrono. Marque ton propre rythme. Comme Matthis, qui a remonté la pente grâce à son projet de 40 ultras en 20 ans, en hommage à sa maman. Il a redonné un sens à ce qu’il faisait. Il a trouvé une cause plus grande que lui. Et ça, ça l’a remis dans un cercle vertueux.

Alors, laisse-toi du temps. Respire. Tu n’as rien à prouver. Tu n’es pas seul. Ce que tu traverses est réel, mais temporaire. Tu peux en sortir, un pas après l’autre, avec bienveillance. Et tu verras : la vraie victoire, elle est là. Dans cette capacité à te relever.

Coaching mental : un allié précieux pour retrouver la motivation

Quand tu traverses un burn out sportif, tu as l’impression que tout s’effondre. Ce n’est pas qu’une simple fatigue passagère, c’est souvent une vraie fatigue mentale profonde, couplée à une dépression après compétition. Ce moment où tu as atteint ton objectif… et qu’après, plus rien n’a de goût. C’est ce que Matthis Granet a vécu après sa victoire sur l’Ultra Maxirace. Il avait coché la case. Il était monté tout en haut. Et pourtant, derrière, le vide.

C’est dans ces phases-là que le coaching mental peut devenir un véritable pilier. Pas pour te faire courir plus vite. Pas pour t’ajouter une pression de performance. Mais pour t’aider à retrouver du sens, à gérer tes émotions, à accepter l’échec, même quand cet "échec" ressemble à une victoire. Parce que parfois, c’est justement le succès qui déclenche la chute.

Ce qui est frappant chez Matthis, c’est qu’il a choisi de verbaliser, de parler, de reconstruire doucement. Il s’est entouré d’un cercle d’amis proches, il a accepté d’être vulnérable, il a osé dire que ça n’allait pas. Et petit à petit, la récupération mentale s’est mise en place. Il n’a pas forcé la reprise du sport à tout prix. Il a simplement réappris à aimer courir, sans chrono, sans objectif immédiat, sans performance à valider.

Ce type de surmenage sportif, tu ne le vois pas venir. Tu avances, tu t’entraînes dur, tu repousses les limites. Et un jour, tu ne veux même plus sortir de ton lit. Tu ne veux plus te lever. Ton corps est fatigué, ton mental est à bout. Et c’est normal. Ce n’est pas une faiblesse. C’est un signal.

Alors si toi aussi, tu ressens ce vide, cette lassitude, cette envie de tout arrêter après une grosse perf, dis-toi que tu n’es pas seul. La santé mentale du sportif est aussi importante que sa forme physique. Ce n’est pas honteux de demander de l’aide, ce n’est pas inutile de ralentir. Bien au contraire.

Accepter l’échec, ou simplement accepter que l’après ne ressemble pas à ce qu’on imaginait, fait partie du chemin. Ce que Matthis a choisi ensuite ? Un projet de cœur, pour redonner du sens à sa pratique : 40 ultras en 20 ans, en hommage à sa maman emportée par un cancer, pour soutenir des associations.

Un projet aligné avec ses valeurs, loin des podiums, mais tellement plus puissant.

Et toi, qu’est-ce que tu pourrais créer pour te relever après un burn out sportif ?

Comment un coach t’aide à accepter l’échec et à transformer le creux en moteur ?

Quand tu vis un burn out sportif, t’as parfois l’impression que tout s’effondre d’un coup. T’as atteint ton objectif, t’as tout donné… et pourtant, ce qui suit n’est pas la joie. C’est souvent un vide, une fatigue mentale qui t’empêche de repartir. Pire : une dépression après compétition, bien réelle, bien sourde, qui te coupe de tes repères et de tes envies. Et c’est là que le coaching mental peut tout changer.

Un coach, ce n’est pas juste quelqu’un qui te pousse à aller plus vite ou à t’entraîner plus fort. Non. C’est quelqu’un qui t’aide à gérer tes émotions, à accepter l’échec, à comprendre que même quand tu gagnes, il peut y avoir un gouffre intérieur. Il t’aide à verbaliser, à poser des mots sur ce creux que tu ressens, et surtout à transformer ce creux en moteur.

C’est exactement ce qu’a vécu Matthis Granet. Après sa victoire sur l’Ultra Maxirace 2021, il pensait toucher les étoiles. Mais au lieu de ça, il a sombré dans un profond burn out sportif. Il avait quitté son job, plus de repères, plus d’envie. Pendant 6 mois, il traverse une période de surmenage sportif, où la tête ne suit plus, et le corps non plus. Il le dit lui-même : "j’avais perdu le goût de tout".

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Petit à petit, ce qui l’a aidé, c’est un coach mental, mais aussi un cercle d’amis solides, un espace où il a pu s’ouvrir, parler, se reconstruire. C’est aussi en fixant un nouveau cap qu’il a commencé à retrouver la motivation. Un projet de cœur : 40 Ultras en 20 ans, en hommage à sa maman disparue d’un cancer. Ça lui a permis de redonner du sens, de créer un cercle vertueux, et de revenir progressivement à la reprise du sport, dans une dynamique plus humaine, plus respectueuse de sa santé mentale.

C’est un chemin, et il est souvent long. Mais quand tu t’autorises à faire un pas de côté, à travailler ta récupération mentale, à écouter ce que tu ressens vraiment… alors tu peux vraiment rebondir. Pas juste pour performer à nouveau, mais pour retrouver la joie d’être en mouvement. Et surtout, pour reconstruire une pratique plus saine, plus alignée avec qui tu es.

Reprise du sport : comment poser de nouveaux objectifs sans se mettre la pression ?

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Après un burn out sportif, l’envie de reprendre le sport peut revenir peu à peu… mais souvent avec une boule au ventre. Tu veux retrouver ce feu sacré, cette passion, mais tu ne sais pas par où commencer. Et surtout, tu veux éviter de replonger dans le surmenage sportif ou cette fatigue mentale qui t’a vidé(e) de l’intérieur.

C’est exactement ce qu’a vécu Matthis Granet. Après sa victoire à l’Ultra Maxirace en 2021, il a plongé dans une dépression après compétition. Il avait atteint son objectif, le sommet, et pourtant, au lieu de ressentir la fierté, il a senti un grand vide. Il s’est retrouvé sans boulot, sans repère, avec l’impression d’avoir perdu tout le sens de ce qu’il faisait. C’est ce qu’on appelle un vrai burn out sportif, quand ton corps dit stop… mais surtout ton mental.

Et c’est là que commence le vrai boulot : la récupération mentale.

Pas celle qui te dit de dormir trois jours et ça ira mieux. Non, celle qui t’invite à gérer tes émotions, à accepter l’échec, à comprendre que le problème n’est pas que tu as trop donné, mais que tu as oublié pourquoi tu donnais.

Alors comment faire ?

Fixe de nouveaux objectifs, mais sans chercher à tout prouver.
Tu n’as pas besoin d’un chrono, d’un dossard ou d’un podium. Commence petit. Sors courir sans montre. Va marcher avec un pote. Prends ton vélo juste pour te vider la tête. Cette forme de reprise du sport plus douce permet à ton cerveau de retrouver la motivation sans avoir peur de l’échec.

Entoure-toi des bonnes personnes.
Matthis Granet en parle : son salut, ça a été un cercle d’amis proches et un accompagnement avec un coaching mental. Parce que parfois, on ne peut pas porter tout seul ce qu’on vit. Et mettre des mots sur ce qu’on ressent, ça aide à trouver du sens.

Crée un projet qui t’élève.
Matthis Granet a lancé "40 Ultras en 20 ans" en hommage à sa maman, décédée d’un cancer. Il s’est donné une cause, un sens. Et c’est devenu un cercle vertueux. Moins de pression, plus de cœur. Moins d’égo, plus de sens. Résultat : une vraie récupération, durable et profonde, autant physique que mentale.

Ta santé mentale compte. Elle vaut plus que ta prochaine médaille. Prends le temps de te reconstruire. Redonne-toi le droit de vibrer, à ton rythme. Rien ne presse. Le chemin le plus puissant, c’est celui que tu choisis de tracer, en conscience.

S’entourer pour mieux se relever : le pouvoir du cercle vertueux

Quand tu traverses un burn out sportif, tu peux avoir l’impression que tout s’effondre. La victoire est là, tu as atteint ton objectif, tu devrais être heureux… mais à l’intérieur, tout s’éteint. C’est exactement ce qu’a vécu Matthis Granet après sa victoire à l’Ultra Maxirace 2021. Il est passé d’un sommet émotionnel à un vide immense. Et c’est là que commence la descente : fatigue mentale, perte de repères, dépression après compétition… Tu n’as plus envie de te lever, plus de plaisir à l’entraînement. Tu ne sais plus pourquoi tu fais du sport. Le surmenage sportif peut être silencieux, mais il peut te laisser KO longtemps.

Sortir de cette spirale, c’est possible. Et ça commence souvent par un geste simple : s’entourer. Tu ne peux pas remonter la pente seul. Ce que Matthis a fait, c’est recréer un cercle d’amis, des personnes qui ne le jugent pas, qui l’écoutent, qui l’aident à gérer ses émotions. Ce soutien-là est essentiel pour enclencher une récupération mentale profonde.

Et quand on parle de cercle vertueux, ce n’est pas qu’un mot. Un bon entourage, ce sont aussi des pros. Un coach mental, comme Antéa dans l’histoire de Matthis, peut vraiment t’aider à poser les bons mots, à verbaliser, à comprendre ce que tu ressens. Tu ne peux pas juste "reprendre le sport" comme si de rien n’était. Il faut reconstruire sur des bases solides. Travailler ta santé mentale, accepter l’échec, comprendre que cette chute fait partie du chemin.

Matthis a aussi trouvé du sens en lançant un projet profondément humain : “40 ultras en 20 ans” en hommage à sa maman, décédée d’un cancer. Ce projet donne un cap, une raison de continuer, une direction claire pour retrouver la motivation. Parce que quand tu mets ton énergie dans quelque chose qui te dépasse, la lumière revient.

Alors oui, le burn out sportif, c’est violent. Mais tu peux t’en sortir. En t’entourant. En créant du lien. En t’accordant du temps pour la récupération. Et surtout, en te rappelant que le sport ne doit jamais t’éteindre – il doit te faire vibrer.

Les bienfaits d’un cercle d’amis proches dans la récupération mentale

Quand tu traverses un burn out sportif, tu peux avoir l’impression que tout s’écroule : plus d’envie, plus de sens, plus de goût à rien. Après un effort énorme ou un objectif atteint, comme une victoire ou un gros défi sportif, certains tombent dans une forme de dépression après compétition. C’est un sujet encore trop peu abordé, mais pourtant bien réel. C’est ce qui est arrivé à Matthis Granet, après sa victoire sur l’Ultra Maxirace en 2021. Il raconte avoir vécu une période très sombre de fatigue mentale et de surmenage sportif, où il n’arrivait plus à sortir du lit ni à trouver une raison de courir.

Dans ces moments-là, retrouver la motivation peut sembler presque impossible. Et pourtant, ce n’est pas une performance ou un chrono qui te remettra sur pied, c’est souvent... les gens autour de toi. Un cercle d’amis proches, sincères et bienveillants, peut devenir une des clés de ta récupération mentale. Pas pour parler uniquement de sport, mais pour t’écouter, te changer les idées, t’aider à gérer tes émotions et surtout te rappeler que tu n’es pas seul. C’est ce qui a permis à Matthis de refaire surface après six mois de flottement : recréer du lien, verbaliser, sortir sans pression, retrouver de l’envie en dehors des objectifs chiffrés.

Quand tu vis un burn out sportif, ton cerveau et ton corps crient stop. Et avant de penser à une reprise du sport, tu dois d’abord prendre soin de ta santé mentale. Le sport peut t’avoir aidé à construire ton identité, mais il ne doit pas t’engloutir. Entouré des bonnes personnes, tu peux accepter l’échec, prendre du recul sur ce que tu vis, et envisager autrement ton chemin. C’est aussi là que le coaching mental entre en jeu : un bon coach peut t’aider à remettre du sens, poser des mots, et amorcer un cercle vertueux pour rebondir.

Aujourd’hui, Matthis a retrouvé sa voie avec un projet fort : “40 Ultras en 20 ans” en hommage à sa maman, emportée par un cancer, et pour aider des associations. C’est une belle manière de faire la paix avec cette période difficile, et de réconcilier performance et santé mentale.

Si tu vis toi aussi un burn out sportif, ne t’isole pas. Entoure-toi. Parle. Respire. Ta récupération commence peut-être juste là.

Écrire, verbaliser, partager : quand sortir les mots libère la tête

Quand tu traverses un burn out sportif, il y a une chose qu’on sous-estime souvent : le poids des mots non dits. La dépression après compétition, ce sont pas toujours des pleurs ou des silences profonds, parfois, c'est juste un vide, une fatigue mentale qui s’installe sans prévenir. Tu as accompli un exploit, atteint ton objectif ultime, et au lieu de ressentir la joie attendue… c’est le noir complet. C’est exactement ce qu’a vécu Matthis Granet après sa victoire à l’Ultra Maxi Race.

À ce moment-là, il n’avait plus envie de se lever le matin. Il n’y avait plus de job, plus d’énergie, plus de sens. C’est ça, le surmenage sportif : tu as tout donné… et t’as oublié de garder quelque chose pour toi.

Alors, comment on s’en sort ? L’une des premières clés, c’est de parler. D’écrire, aussi. De verbaliser ce que tu ressens, même si c’est flou, même si ça fait mal. Que ce soit dans un carnet, à un ami ou avec un professionnel du coaching mental, le simple fait de sortir ce qu’il y a dans ta tête peut déjà enclencher un début de récupération mentale. C’est comme si tu soufflais un peu la pression.

Avec le temps, Matthis a recommencé à courir. Pas pour battre un chrono, pas pour briller sur une affiche. Juste pour lui. Et au fur et à mesure, il a trouvé une cause plus grande que lui, un vrai sens : il s’est lancé dans le projet des 40 Ultras en 20 ans, pour rendre hommage à sa maman disparue d’un cancer, et pour soutenir des associations. Là, il a su retrouver la motivation.

Toi aussi, tu peux amorcer ta reprise du sport en douceur, sans pression. L’idée, ce n’est pas d’aller vite, c’est d’y retourner avec le bon état d’esprit. La santé mentale passe avant la performance. Il faut aussi accepter l’échec, accepter les creux, les moments de doute. C’est humain.

Et surtout, n’oublie jamais : tu n’es pas seul. Tu peux apprendre à gérer tes émotions, à reconstruire ton équilibre. C’est comme ça que démarre le cercle vertueux : une oreille qui t’écoute, un mot que tu écris, une sortie sans montre, une discussion qui fait du bien. La vraie récupération, elle commence dans la tête… bien avant les jambes.

Matthis Granet : l’histoire d’une renaissance après la victoire

On n’en parle pas souvent, mais le burn out sportif peut frapper même après une grande victoire. C’est exactement ce qui est arrivé à Matthis Granet après sa performance incroyable à l’Ultra Maxirace 2021. Il aurait pu savourer son exploit, surfer sur la vague du succès. Mais au lieu de ça, il s’est retrouvé face à un immense vide intérieur. Plus envie de courir, plus d’énergie, et surtout, plus aucun sens à ce qu’il faisait.

Ce surmenage sportif est venu percuter une autre réalité : Matthis venait aussi de quitter son job. D’un coup, plus de cadre, plus de repères. Ce qu’il a vécu, beaucoup de sportifs peuvent s’y reconnaître : une dépression après compétition, silencieuse mais violente, où chaque réveil est une bataille. Tu crois que ça ira mieux demain, mais la fatigue mentale te poursuit. Les jambes sont là, mais l’âme n’y est plus.

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Heureusement, il n’est pas resté seul dans ce tunnel. Petit à petit, il a recréé autour de lui un cercle d’amis proches. Il a accepté d’en parler, de verbaliser ses émotions, de gérer ses émotions sans filtre. Il a aussi fait appel à un coach mental, pour comprendre ce qui s’était passé en lui, et enclencher une vraie récupération mentale. Parce que le mental, c’est comme les muscles : ça se soigne, ça se travaille, et ça se respecte.

Il n’a pas cherché à reprendre la compétition tout de suite. Il a pris son temps. Il a mis de côté les chronos, les objectifs de performance, pour retrouver le plaisir simple de courir. Cette reprise du sport s’est faite dans le respect de sa santé mentale. Il a accepté l’échec, ou plutôt ce que certains auraient appelé un échec, comme une étape nécessaire à son évolution. Et c’est là que quelque chose de fort est né.

Matthis a transformé cette période difficile en moteur d’un projet de vie : 40 ultras en 20 ans, un défi qu’il dédie à sa maman, emportée par un cancer. Ce projet n’a rien à prouver. Il a juste du sens. Il reconnecte le cœur à l’effort, l’humain à la nature, le sportif à ses émotions. Et c’est là qu’il a su retrouver la motivation, non pas pour gagner, mais pour avancer, tout simplement.

Son histoire nous rappelle que le burn out sportif n’est pas une faiblesse. C’est un signal. Une alerte que ton corps et ton esprit t’envoient. Il ne faut pas l’ignorer. La récupération, ce n’est pas seulement du repos, c’est une vraie reconnexion à soi. Et parfois, c’est la plus belle des victoires.

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